L'activité de cette hormone peut être freinée :
Une sécrétion trop élevée d'aldostérone s'appelle un hyperaldostéronisme, une sécrétion trop basse un hypoaldostéronisme. C'est essentiellement le premier cas le plus fréquent. Il se manifeste par une hypertension artérielle.
Il est dit « secondaire » si l'augmentation de cette hormone est conséquence d'une stimulation de sa production par un mécanisme physiologique. Autrement, il est appelé « primaire », rentrant dans le cadre d'un syndrome de Conn ou d'une hyperplasie bilatérale des surrénales.
Par ailleurs la sécrétion physiologique d'aldostérone peut être délétère dans certaines maladies : c'est le cas de l'insuffisance cardiaque où le blocage de sa production ou de son action constitue l'une des clés du traitement.