Ces sondages sont difficilement reconnaissables, ils sont bien souvent signalés par une balise métallique jaune. Leur but était de chercher des veines de charbon pour créer de nouveaux puits. Ils sont au nombre de vingt-sept.
50°21′52.3″N3°15′27.47″E/50.364528, 3.2576306(Sondage de Villers-Campeau)
Sondage B Bis - 4e de Somain
Somain
1840
152 m
50°21′7.97″N3°16′27.58″E/50.3522139, 3.2743278(Sondage B Bis - 4e de Somain)
Sondage B - 2e de Somain
Somain
1840
121 m
50°21′4.25″N3°16′26.75″E/50.3511806, 3.2740972(Sondage B - 2e de Somain)
Sondage A - 1er de Somain
Somain
1839
136 m
50°20′49.67″N3°16′29″E/50.3471306, 3.27472(Sondage A - 1er de Somain)
Sondage E - 3e de Somain
Somain
1840
152 m
50°21′16.75″N3°16′42.43″E/50.3546528, 3.2784528(Sondage E - 3e de Somain)
Sondage n°1 de Waziers
Waziers
1851
156 m
Les usines
Usine de la Briquetterie à Somain, possession de la Compagnie des mines d'Aniche.
La Briquetterie à Somain, c'est notamment une usine à boulet et des fours à coke. Elle était située à proximité immédiate des fosses La Renaissance, Saint Louis et Fénelon.
La lavoir Barrois.
La cokerie de Waziers :
:C'était l'unité de production de charbon de Douai. Située sur le territoire de la commune de Waziers, elle a cessé son activité le 15 décembre 1976. La première cokerie, qui a été installée en 1899, comprenait 120 fours. Détruite durant la Première Guerre mondiale, reconstruite avec 230 fours entre 1923 et 1929, elle a été à nouveau partiellement détruite en 1939 - 1940.
:La cokerie "actuelle" a été construite entre 1952 et 1958 et comprenait 92 fours. Sa capacité de production de 1 500 tonnes de coke par jour exigeait une consommation journalière de 2 000 tonnes de charbon. Alimentée à l'origine par des charbons provenant exclusivement des sièges voisins, la cokerie a dû de plus en plus faire appel à des charbons étrangers en raison de l'épuisement progressif du gisement du bassin du Nord Pas de Calais. La cokerie de Waziers fournissait essentiellement du coke métallurgique. Le gaz obtenu au cours de la carbonisation alimentait l'usine voisine de la Grande Paroisse qui en extrayait de l'hydrogène pour fabriquer de l'ammoniac et restituait ensuite le gaz pour le chauffage des batteries de fours. La fermeture définitive de la cokerie est due à la baisse de production des charbons à coke du siège Gayant et à la diminution des besoins de la sidérurgie.
:Les 230 personnes travaillant sur le site furent reclassées dans les autres cokeries et établissements du bassin selon un plan établi par le service de gestion et d'administration du personnel.