L'EAC (Economie, Art et Communication) créé en 1985, est un établissement privé d'enseignement supérieur, reconnu par le Ministère de la Culture et de la Communication et le Ministère de l'éducation, formant aux métiers du marché de l'art, de la culture et du luxe.
Le 26 septembre 1985, Claude Vivier Le Got ouvre l’École d’art et de gestion, un nouveau concept qui allie la finance et la gestion à la culture. Les professionnels du monde de l’art et de la culture sollicités par la fondatrice sont séduits par ce challenge et deviennent professeurs au sein de cette nouvelle école, qui compte alors quelque quarante étudiants.
L’idée fonctionne, et l’école acquiert rapidement une vraie notoriété, fondée sur la qualité des formations dispensées et de ses professeurs.
En 1987, la notion de communication est intégrée à l’école, qui se nommera désormais EAC, acronyme pour économie, art et communication. Cette année là, deux filières sont proposées, la médiation culturelle et le marché de l’art, réunies par un tronc commun d’art et de gestion.
En 1991, Claude Vivier crée et imagine le métier de manager culturel, marque déposée et protégée à l’INPI : manager culturel EAC.
Un an plus tard, elle reprend le management de l’IDETH, Institut d’études techniques et historiques des objets d’art. L’EAC propose désormais des formations professionnelles.
Le nombre croissant des étudiants nécessite un déménagement en 1993. L’EAC devient alors propriétaire de ses locaux rue de la Grange Batelière, au plein centre du Quartier Drouot.
En 1996, la stabilité économique attestée permet à l’école de renforcer sa formation étudiante avec une nouvelle filière : ARTIS, 3ème cycle de médiation culturelle.
En 1998, L’EAC décide de s’implanter en région pour répondre à la demande croissante des étudiants de province et ouvre une filiale à Lyon.
La reconnaissance de l’EAC en 2000 par le Ministère de la Culture est un gage de qualité qui renforce la notoriété de l’école.
Cette même année, Claude Mollard, expert culturel et chargé de mission pour les arts et la culture auprès de Jack Lang, alors Ministre de l’Éducation nationale, sollicite l’EAC pour poursuivre et reprendre la formation de l’ISMC, l’institut supérieur de management culturel qu’il a fondé, et qui deviendra la formation EAC senior.
En 2004, l’EAC s’implante au Maroc avec la création d’un diplôme culture/loisir/tourisme en partenariat avec Com’Sup, l’Ecole supérieure de communication et de publicité de Casablanca.
En 2006, le diplôme de management de projet culturel de l’EAC est le premier titre certifié par l’Etat niveau 1 (Bac + 5, Master) dans cette discipline.
En 2007, le groupe EAC rachète l’ING, institut national de gemmologie. L'EAC s’agrandit en proposant une nouvelle filière des métiers du Luxe.
En 2008 est créée une antenne à Monaco avec IET (Institut d’études tertiaires), qui propose un enseignement professionnel de langues étrangères, de management et de Luxe.
En 2008, le groupe emménage dans un immeuble de 7 étages au 33 rue la Boétie et affiche son hégémonie dans la formation aux métiers de la culture.
2009 : les diplômes en marché de l’art sont certifiés par l’État niveau 1, manager du marché de l’art (unique diplôme au monde de ce niveau de compétence et de qualification, Bac + 5, Master) et niveau 2, négociateur d’objets d’art et de décoration (Bachelor, Licence).
L’EAC continue de se développer à l’international : en 2009, le groupe est sollicité par le Ministère de la Culture d’Algérie pour former ses cadres. Il s’étend alors davantage en dispensant un enseignement annuel sur place à Alger.
L’école est également présente en Roumanie à Tirgu Mürres, où a été créée une formation de management de projets culturels.
Depuis le 1er avril 2010, l’ING délivre un diplôme de Gemmologue certifié par l’État niveau 3. C’est la 1ère fois dans le monde qu’un centre de formation en Gemmologie obtient cette reconnaissance à ce niveau de qualification.
2010 : Le groupe EAC rassemble 600 apprenants dans les métiers du management de la culture et du marché de l’art ; et 250 dans les métiers de l’industrie du luxe. Il développe un CA consolidé de 4,4 millions d’euros.