Thomas Sydenham - Définition

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Orientation bibliographique

  • Arthur James Cain (1999). Thomas Sydenham, John Ray, and some contemporaries on species, Archives of Natural History, 26 (1) : 55-83.
  • Dewhurst K., Dr Thomas Sydenham (1624-1689). His life and original writings, Londres, 1966.
  • Savard G., Le diagnostic chez Thomas Sydenham, Th Chir Dent, Montrouge, Université Paris 5, 2003.

Biographies

Parmi les biographies de Sydenham, celle (anonyme) de Samuel Johnson dans la traduction de ses oeuvres par John Swan (Londres, 1742), une autre de CG Kuhn dans l’édition de ses œuvres de Leipzig en 1827) et une troisième du Dr RG Latham dans la traduction de ses œuvres publiées à Londres par la Société Sydenham en 1848.

Voir aussi Frédéric Picard,Sydenham, sa vie, ses œuvres (Paris, 1889), et JF Payne, T. Sydenham(Londres, 1900). L’ouvrage Locke et Sydenham in Hares subsecivae du Dr John Brown,(Edimbourg, 1858) relève plutôt de l’éloge funèbre.

De nombreuses éditions de l’ensemble de ses oeuvres ont été publiées, ainsi que des traductions en anglais, allemand, français et italien. Le texte latin du Dr WA Greenhill (Londres, 1844, Syd. Soc.) est un modèle d'édition et d'indexation. Le résumé le plus intéressant de sa doctrine et de sa pratique par l'auteur lui-même figure dans l'introduction à la 3e édition d’ Observationes medicae (1676).

Il a donné son nom

  • à la chorée essentielle : maladie (ou chorée) de Sydenham
  • au laudanum de Sydenham, une potion analgésique à base d'opium
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