L'avion part Goma pour Kisangani. Pour le directeur du RVA, le moteur numéro un s'allume après 300 mètres, donc il y avait une explosion du turboréacteur. L'avion ne peut pas s'arrêter sur la piste, et écrase à 14h30 (12h30 UTC), sur des maisons et les boutiques du marché Birere sur l’avenue du 20 mai, jusqu'au sud de la piste 18. En vidéo, l'inversion de poussée est déployée.
L'aéroport n'a pas de service anti-incendie. La réponse initiale inclut des agences internationales avec du personnel à Goma, spécialement les branches du Nations unies (MONUC, Bureau de la coordination des affaires humanitaires OCHA, UNICEF, et Organisation mondiale de la santé) mais aussi les Médecins sans frontières France et la Croix-Rouge. Membres du 6th Battalion of the Sikh Light Infantry, de l'armée du India, postée la en le brigade Nord Kivu de MONUC, effet la sauvetage de 6 et retru 18 corps. Ils ont aussi actifs en contrôle du personnel. They prevented the fire that arose from spreading to thickly populated areas nearby. Both flight recorders were recovered.
À Kinshasa, Le Phare, rapporte que les aéroports en tous l'RDC utilisent encore des infras de l'âge de plus de cinquante ans, construits par les Belges.
Deux jours après la tragédie, le gouvernement pris la décision de réparer la piste, coupée par le volcan en janvier 2002. Le Réseau national des organisations non gouvernementales des droits de l’homme de la République démocratique du Congo (Renadhoc) accuse le gouvernement d'RDC:
« La responsabilité du crash d’un DC 9 de la compagnie Hewa Bora Airways le 15 avril dernier à Goma est d’abord imputable au gouvernement congolais, selon le Renadhoc, Réseau national des organisations non gouvernementales de droits de l’homme en RDC.
-Radio Okapi 2008-04-21 »