| Nom | De | A |
|---|---|---|
| M. Alain Le Bihan | 1962 | 197? |
| M. Michel Popot | 196? | 1974 |
| M. Jean-Pierre Colin | 1974 | 1985 |
| M. Robert Petit | ?? | 1988 |
| M. Bernard Druais | 1985 | 1989 |
| M. Jean Andraud | 1990 | 1994 |
| M. Bernard Bertrand | 1995 | 1999 |
| M. Christian Pigny | 2000 | 2001 |
| M. Claude Le Guellec | 2002 | 2003 |
Le site du CTS disposait d'une arrivée 20 000 volts derrière le radôme.
Depuis cette cabine, la moyenne-tension était renvoyée sur le bâtiment énergie Primaire, situé au cœur du site, devant l'accueil du CTS. À l'intérieur, le bâtiment disposait de trois groupes électrogène d'une puissance de 1500 kVA. Cette énergie était ensuite re-distribuée par une boucle 20 000 Volts enterrée, qui parcourait tout le site (on peut encore apercevoir les chemins de câbles bétonnés, gravés du sigle "H.T", dans tout le site).
| Vue arrière gauche. | |||
| Bâtiment énergie PB4 , dégradé par le temps (2008). |
L'arrivée 20 000 volts pour PB4. | ||
Schéma Alimentation Énergie du site. | Principe fonctionnement d'une ASI. |
Cette boucle 20 000 volts alimentait chaque bâtiment secondaire en énergie (1 bâtiment par antenne). Chaque bâtiment secondaire alimentait à son tour une antenne ; les bâtiment 'Énergie-Antenne' disposaient également d'alimentation "ASI" (Alimentation Sans Interruption), permettant de basculer sur batteries ou sur groupe électrogène en cas de défaillance E.D.F, l'autonomie des antennes était ainsi garantie.
Concernant l'ASI :
Le CTS ayant un besoin de qualité (variation de tension, dérive en fréquence, coupure) au niveau fourniture de l'énergie EDF, l'emploi de système ASI se justifiait pleinement.