Quelques photos du CTS, d'hier et d'aujourd'hui :
PB6 en 2006,en zoomant sur la photo on aperçoit les nombreux points de rouille sur la structure de la parabole. | |||
L'antenne Inmarsat Symphonie/PB5. | |||
Une partie de ce lieu historique s'appelle aujourd'hui Cosmopolis et regroupe le musée des télécommunications et son radôme (Cité des télécoms), le planétarium de Bretagne, ainsi qu'une reconstitution fidèle d'un village Gaulois.
Suite à l'arrêt définitif du centre, et après d'âpres discussions entre la mairie de Pleumeur-Bodou, l'architecte des Bâtiments de France (du fait de la proximité du radôme, monument classé, les antennes ne pouvaient être démantelées sans autorisation) et France Télécom, sept antennes du CTS ont été démantelées par France Télécom, encore propriétaire du site. Le CTS n'étant plus en activité, celui-ci a été vendu à la Communauté d'Agglomération Lannion-Trégor (LTA), le 6 septembre 2006.
Quatre antennes (ou plutôt, devrait-on dire, des "sculptures de métal" car débarrassées de toute électronique, câbles de commandes, figées dans leur position définitive) ont été conservées à ce jour : deux par France Télécom (PB1, PB8) et deux par la Communauté de Communes (PB3,PB5).
Ces quatre dernières antennes sont les seuls vestiges d'un glorieux passé de télécommunication dans le Trégor. Les terrains du CTS, appartenant désormais à l'agglomération de communes Lannion-Trégor, sont utilisés désormais par la mairie de Pleumeur-Bodou ainsi que par des sociétés privées.
Le reste du site étant devenu une "friche industrielle", est en cours de nettoyage par les agents de LTA (déboisage, entretien des talus et des chemins d'accès, dépollution (suppression des câbles divers).
Des appels concernant des marchés publics sont en cours de lancement (mars 2008), afin de sélectionner des projets mettant en valeur le patrimoine historique du site et permettant également de réutiliser les surfaces vacantes de la zone.
Lannion-Trégor Agglomération a décidé de rebaptiser le site "Pôle Phoenix". Les travaux de rénovation ont débuté en mai 2008. Le projet de reconversion s'articule autour de cinq axes :