Les postes de contrôle sont établis près d’éléments visibles et expliqués séparément sur la carte ou sur une liste de définitions de postes normalisée.
Les postes sont signalés par une balise rouge/orange et blanche. Le concurrent atteste de son passage aux postes de contrôle soit en poinçonnant la case concernée d’une carte de contrôle soit, depuis la dernière décennie du XXe siècle, à l’aide d’un dispositif électronique.
Les dispositifs électroniques les plus répandus aujourd'hui sont fournis sous les marques Sportident et Emit. Ils se présentent sous la forme d'un doigt ou d'une plaquette électronique que le concurrent place, lors de son passage au poste, sur un boîtier spécifique. Les dispositifs enregistrent le passage du coureur au poste ; ils permettent également, à l'aide d'un logiciel, de fournir les temps de passage au poste ainsi que le temps total de course.
L’absence de tout trajet pré-établi entre les postes de contrôle donne beaucoup de flexibilité dans l’organisation de la course. Chaque poste de contrôle, identifié par un numéro unique, peut servir aux courses de différentes catégories de concurrents, chacune de ces courses ayant son degré de difficulté et sa longueur propres.
Sur la carte, les postes de contrôles sont repérés par des cercles roses numérotés et reliés entre eux. Sur le terrain, les cercles correspondent aux balises. Les numéros de la séquence notés sur la carte ne coïncident pas avec les numéros des postes de contrôle marqués sur la balise ; la liste des définitions fournit la correspondances.