Parc zoologique de Thoiry - Définition

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Naissances

Il y a de 150 à 200 naissances chaque année.

  • En 2006 : 8 moutons de Somalie, 6 watussis, 7 cobes de léchwé, 2 oryx d'Arabie, 4 élands du cap, 2 springboks, 2 sitatungas, 1 gnou bleu, 1 bœuf Highland, 1 hippopotame, 1 bison d'Europe, 1 oryx beisa, 10 daims, 2 nilgauts, 3 gnous à queue blanche, 8 antilopes cervicapre, 1 cobe à croissant, 3 capybaras, 18 maras, 5 wallabies de Bennett, 2 Kangourous roux, 2 chouettes Harfang, 2 autruches, 2878 escargots Partula.
  • En 2007 : 3 servals, 3 lions, 2 pandas roux, 3 loutres d'Asie, 1 loutre d'Europe, 3 macaques de Tonkéan, 2 lémurs macacos, 5 zèbres de Chapman, 4 moutons de somalie, 1 hippotrague noir, 5 élans du cap, 1 cobe à croissant, 8 cobes de lechwé, 1 springbok, 11 antilopes cervicapre, 3 sitatungas, 8 daims, 1 bison d'Europe, 3 gnous à queue blanche, 1 gnou bleu, 2 nilgauts, 27 maras, 2 rats des moissons, 5 kangourous roux, 5 wallabies de Bennett, 1 chouette harfang, 4 tadornes casarca, 3 hérons bihoreau, 1092 escargots Partula.
  • En 2008 : 1 ours, 2 servals, 2 panthères de Chine, 1 Panda roux, 3 lions, 3 macaques, 4 lémurs noirs, 3 makis catta, 6 moutons de Somalie, 14 sitatungas, 3 phacochères, 12 cobes de Lechwé, 4 élands du cap, 3 springboks, 7 gnous à queue blanche, 2 cobes à croissants, 3 gnous bleus, 10 antilopes cervicapre, 2 bisons d’Europe, 1 oryx Beisa, 1 daim, 1 zèbre, 1 muntjac, 6 wallabies de Bennett, 2 kangourous roux, 31 maras, 1 émeu, 3 hafangs des neiges, 2 tadornes casarcas, 1286 escargots Partula.
  • En 2009: 4 loutres d’Asie, 1 macaque, 7 makis cattas, 2 sitatungas, 4 phacochères, 1 mouton de Somalie, 1 éland du cap, 1 Oryx beisa, 5 gnous à tête bleue, 5 zèbres, 8 gnous à queue blanche, 13 antilopes cervicapre, 1 daim, 1 muntjac, 1 cobe à croissants, 1 bison d’Europe, 5 wallabies de Bennett, 3 kangourous roux, 6 maras, 10 tortues mauresques, 2 harfangs des neiges, 2 autruchons, 314 escargots Partula.

Jardins

Ceux-ci sont peuplés de centaines d'animaux sauvages et exotiques, dont certains très rares, tels les Dragons de Komodo (les seuls existant en France), dans de vastes espaces paysagés.

En sept endroits différents, les « Arbres Qui Parlent » font entendre les chants de la nature et révèlent des secrets de la vie. Les enfants ont aussi leurs jeux de plein air, ceux de « l'île Mystérieuse ». Enfin, ils peuvent nourrir et caresser les animaux domestiques de la « mini ferme ».

Dès le XVIe siècle, l'ordonnancement des jardins était conçu dans le souci de valoriser les proportions architecturales du château de l'alchimiste Raoul Moreau. Si les terrasses, agrémentées de parterres finement dessinés et fleuris, donnaient son assise au bâtiment, les grandes allées en patte d'oie mettaient en valeur la transparence des pièces du rez-de-chaussée situées dans l'axe de la course du Soleil. Terrasses et allées centrales serviront de base 150 ans plus tard, apparaît un renouvellement des formes connu sous le nom de jardin dit à la française.

N'ignorant rien des « divines proportions » et des règles du nombre d'Or utilisées par l'architecte Philibert de l'Orme pour le château, Claude Desgot, neveu et associé de Le Nôtre, paysagiste de Thoiry, s'en inspira pour aménager jardins et perspectives, prolongeant ainsi l'œuvre de l'architecte. Il su même créer une parfaite illusion d'optique. Ainsi, lorsque le promeneur quitte le château en descendant le centre du parterre, il a l'impression que le fond du jardin s'éloigne au fur et à mesure qu'il avance car les arbres furent plantés de manière à inverser les perspectives.

Au XIVe siècle, l'engouement du parc à l'anglaise, plus naturel que la nature s'impose au détriment des conceptions classiques. Cette mode envahit le parc de Thoiry et seuls le grand axe sud ouest et son parterre à la française échappent à la destruction. Les paysagistes Châtelain puis Varé ont créé de splendides massifs d' azalées, de rhododendrons aux couleurs mauves et roses tendres qui agrémentent alors la promenade. De nouvelles espèces d'arbres, dont 51 séquoias, plantés vers 1852 enfouissent le château sous les frondaisons, obstruant toutes les perspectives sur le vaste paysage alentour. Vers 1970, soucieux de redonner à l'histoire des jardins sa pleine dimension, Paul de La Panouse a recréé les allées du jardin nord-est à la française, et coupé les plantations 19ème devant le château pour rétablir la perspective et la transparence architecturale.

Annabelle, Comtesse de La Panouse, a développé le parc paysagé à l'anglaise sur ses côtés latéraux : avec le paysagiste Timothy Vaughan, un Jardin d'Automne, avec Adrien Fisher, un labyrinthe à thème "Le songe de Poliphile" composé de 5600 ifs, 2 300 mètres d'allées et de 9 ponts, avec Alain Richert, un Jardin de Senteurs, une roseraie et d'innombrables bosquets d'arbres et arbustes rares. La Comtesse de La Panouse a aussi créé une Longue Galerie de pivoines et hémérocalles, une allée serpentine de viburnums et hortensias, ainsi qu'un pré fleuri.

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