Zèbre de Grévy | |||||||||
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Classification | |||||||||
Règne | Animalia | ||||||||
Embranchement | Chordata | ||||||||
Sous-embr. | Vertebrata | ||||||||
Classe | Mammalia | ||||||||
Sous-classe | Theria | ||||||||
Infra-classe | Eutheria | ||||||||
Ordre | Perissodactyla | ||||||||
Famille | Equidae | ||||||||
Genre | Equus | ||||||||
Nom binominal | |||||||||
Equus grevyi Oustalet, 1882 | |||||||||
Statut de conservation IUCN : | |||||||||
Répartition géographique | |||||||||
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Le zèbre de Grévy (Equus grevyi), parfois appelé zèbre impérial, est la plus grande des espèces de zèbre, se distinguant des autres par ses rayures plus fines et rapprochées, ses oreilles longues et rondes, ainsi que sa tête étroite.
Il tient son épithète spécifique du premier spécimen décrit par des scientifiques, offert en 1882 à Jules Grévy, président de la République française par Ménélik II, roi de Choa. Celui-ci en fit don à la ménagerie du Jardin des plantes, où il décéda au bout de quelques jours. Il fut naturalisé au Muséum national d'histoire naturelle. Il fut nommé sur une proposition de Milne Edwards.
La population sauvage de cette espèce a été estimée en 2007 à moins de 2 000 individus vivant à l'état sauvage dont 1800 au Kenya dans la réserve nationale de Samburu et le restant en Ethiopie.
Afrique orientale.
Herbivore : graminées.
Il se différencie du zèbre de Chapman par une robe élégante aux rayures très fines. Il fut découvert en 1882 et c'est aujourd'hui une espèce menacée.