Contexte général | |
Champs d’action | défendre les lycéens promouvoir la vie lycéenne développer la vie associative |
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Zone d’influence |
France Europe |
Fiche d’identité | |
Fondateur | Alizée Baud Benoit Bricout Alexis Debuisson Matis Pellerin |
Forme juridique | Association loi 1901 |
Fondation | Janvier 2008 |
Siège central | 1 - 3 rue Frédérick-Lemaître 75020 Paris, Île-de-France |
Origine | Fondée à Annecy |
Président(e) | Charles Dechamps |
Secrétaire général(e) | Jordan Boissière |
Vice-président(e)(s) | Juliette Chapelle Mickaël Ouarné |
Trésorier/ière | Aloïs Dubois |
Affiliation européenne | Organising Bureau of European School Student Unions |
Membres | 4 000 adhérents revendiqués |
Slogan | Place au dialogue ! |
Site Internet | www.aevl.fr |
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L’Association des élus et de la vie lycéenne (AEVL), est une association loi 1901 composée de plus de 4000 adhérents.
L'AEVL a pour but de développer la vie lycéenne, ses instances; la vie associative au lycée; promouvoir les engagements, talents lycéens; et défendre les droits des lycéens. L'AEVL est une association dont le champ d'action est national.
L'AEVL est créée en décembre 2007 à Montpellier afin de pouvoir regrouper à l'échelle nationale les différents élus lycéens. Cette création est le fruit d'une initiative d'Alizée Baud (élue au CAVL de Grenoble, membre du Conseil national de la jeunesse), Benoit Bricout (élu au CSE), Matis Pellerin (élu au CNVL, conseiller à la Jeunesse en charge des relations Internationales auprès du ministre de la Jeunesse) ainsi qu'une dizaine d'autres personne, tous membres de différents conseils de jeunes.
Le siège social est alors fixé chez Alizée Baud qui est élue présidente lors de l'assemblée général constitutive avec la totalité des votes en sa faveur.
En 2010, sous l'impulsion de Charles Dechamps, secrétaire général, l'AEVL crée le Réseau National des Maisons des Lycéens, une section interne à l'AEVL qui regroupe déjà quelque mois plus tard une dizaine de maison des lycéens. Ce réseau a pour but d'aider les lycéens à s’organiser en association et à développer une vie associatives en milieu lycéen.
L'AEVL travaille sur le développement des maisons des lycéens. Elle est partie du constat que celles-ci étaient encore trop peu présentes dans les lycées, probablement en raison d'une méconnaissance du fonctionnement, du problème d'âge légal, et de la disparité de l'engagement des élèves.
Depuis sa création, le bureau de l'AEVL travaille activement à la création d'une radio afin de permettre aux lycéens de s'exprimer. Elle travaille actuellement sur le développement de son réseau de groupe lycéen afin d'enrichir ses sons et de les faire connaitre auprès des autres lycéens.
L'AEVL agit également pour les lycéens du CNED, elle a lancé début 2010 une consultations afin de comprendre les besoins des lycéens du CNED et recherche les meilleurs moyens afin que ceux ci puissent se faire entendre.
L'AEVL met également a disposition des lycéens des formations et un livret du bénévolat. Cette volontée de formation apparait suite aux recommandations du livre vert de Martin Hirsh (alors haut-commissaire à la Jeunesse).
« Nous demandons au ministre de l'Éducation nationale […] de préciser le caractère non marchand des données cédées [les résultats du baccalauréat et du brevet], d'en interdire toute commercialisation et de sanctionner les entreprises qui dérogeraient à la règle », annoncent dans un communiqué commun les éditions Épicure, l'Association des élus de la vie lycéenne (AEVL) et l'UNL lundi 5 juillet 2010, à la veille de la publication des résultats du premier groupe d'épreuves du baccalauréat et à quatre jours de celle des résultats du DNB, vendredi 9 juillet 2010. Les trois organisations veulent « dénoncer la pratique de la vente des résultats du baccalauréat et du diplôme national du brevet par des entreprises privées ».
Les organisations expliquent que « chaque année, le ministère de l'Éducation nationale accorde gratuitement sous la forme d'une licence le droit à certaines sociétés de recevoir les résultats et de les diffuser. L'objectif étant de permettre la communication au plus grand nombre ». Or, selon elles, « la plupart des opérateurs mettent à disposition ces résultats gratuitement, mais d'autres abusent de la crédulité ou de l'impatience des familles pour les vendre à un prix variant entre trois et six euros par candidat, au moyen de paiements bancaires, d'appels surtaxés ou de facturations du fournisseur d'accès internet (FAI) ».
Afin de lutter contre la mise en place du SDI, les informaticiens de l'Éducation nationale ont lancé un préavis de grève (1) couvrant la période du 5 au 7 juillet (AEF n°134427) afin d'empêcher la diffusion des résultats du baccalauréat par des « officines privées ». Les informaticiens assurent que les résultats de l'examen seront divulgués au sein des établissements.
(1) Le préavis de grève est lancé à l'appel du SNPTES-Unsa, du Snasub-FSU, du Sgen-CFDT et de l'Un Sgpen-CGT