Hôtel des princes de Monaco | |
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Période ou style | Renaissance |
Type | Château |
Début construction | XVIe |
Fin construction | XVIIe |
Propriétaire initial | Honoré II Grimaldi |
Destination initiale | Logis urbain du comte |
Propriétaire actuel | Propriétaires privés |
Destination actuelle | Habitation privée |
Protection | tourelle d'escalier classée en 1921 inscrit MH le 11 juin 1990 |
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Pays | France |
Région historique | Auvergne |
Région | Auvergne |
Département | Cantal |
Commune française | Vic-sur-Cère |
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L'Hôtel des princes de Monaco est un logis urbain située dans le bourg de Vic-sur-Cère dans le Cantal en France.
Il s'agissait de la maison que possédait le Comte de Carladez à partir de son érection en 1643 en faveur d' Honoré II Grimaldi. Auparavant, il s'agissait d'une vicomté, plus étendue et avec des pouvoirs plus importants qui sont retenus par le roi pour constituer le bailliage.
Sa parcelle comprenait les trois maisons à gauche rue du Moine de Montaudon jusqu'à l'ancienne école Saint-Joseph, et à droite les deux maisons et le jardin vers la place du Carladez.
Trop modeste et trop rustique pour un personnage aussi considérable, il a surtout servi à loger le principal officier gouvernant la comté pour le prince.
Son architecture indique une période de construction antérieure d'au moins un siècle à 1643, date de donation du Comté de Carladès aux Grimaldi. À partir de 1643, la justice du Carladès est séparée en deux : la justice inférieure ou sénéchaussée est rendue au nom du comte de Carladez, et la justice supérieure reste royale avec le bailliage dont l'auditoire et la geôle étaient situés en face de l'Église.
Vendu comme bien national.
Visible de l'extérieur.
Logis de plan allongé formé de deux ailes flanquant une tour escalier à escalier à vis sur noyau sur rue, qui a été construit en brèches volcaniques pendant la première moitié du XVIe siècle. La toiture à longs pans et croupes porte une couverture en schiste; Des fenêtres ont été remaniées au milieu du XVIIe siècle, et un corps de logis ajouté pour former un retour sur la rue du Bailliage.
La tourelle d' escalier a été classée par arrêté du 16 mars 1921, les deux ailes inscrites par arrêté du 16 mars 1934 puis la pièce du premier étage avec sa cheminée et ses lambris a été inscrite par arrêté du 11 juin 1990