Uroplatus malama | |||||||||
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Classification | |||||||||
Règne | Animalia | ||||||||
Classe | Reptilia | ||||||||
Ordre | Squamata | ||||||||
Famille | Gekkonidae | ||||||||
Sous-famille | Gekkoninae | ||||||||
Genre | Uroplatus | ||||||||
Nom binominal | |||||||||
Uroplatus malama Nussbaum & Raxworthy, 1995 | |||||||||
Caractéristiques | |||||||||
Répartition | Madagascar | ||||||||
Biome | forêt tropicale humide | ||||||||
Taille (max) | 12 cm | ||||||||
Période | nocturne | ||||||||
Nourriture | insectivore | ||||||||
Mode de vie | arboricole | ||||||||
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Uroplatus malama est une espèce de gecko arboricole, nocturne et insectivore de la sous-famille des geckoninés, qui se rencontre sur l'île de Madagascar.
Cette espèce est endémique de l'île de Madagascar.
Le climat est tropical humide, mais sans températures excessives : pas plus de 25°C la journée et environ 20°C la nuit, avec une chute modérée durant l'hiver. L'hygrométrie est élevée, pouvant dépasser les 70% voire les 80% selon la saison et l'heure.
Dans son milieu (la forêt primaire de Madagascar) ce reptile ne reçoit quasiment jamais la lumière directe du soleil.
Aucune sous-espèce connue à ce jour.
Ce gecko est insectivore et consomme la plupart des insectes et arthropodes de taille adaptée. Il attrape les proies qui passent à sa portée ou se laisse tomber sur elles depuis les branches.
Les Uroplatus sont réputés difficiles à maintenir en captivité, et sont classés en annexe II de la CITES. Cette espèce semble de plus être assez rare, et Madagascar a pratiquement stoppé toutes les exportations de sa faune locale. C'est pourquoi, et en l'absence de populations reproduites en captivité il est pratiquement impossible d'obtenir ces animaux.
Comme tous les Uroplatus cet animal compte plus sur son camouflage que sur sa vitesse pour échapper aux prédateurs. C'est de plus un nocturne strict, et un arboricole qui ne s'aventure quasiment jamais au sol.
Les mâles présentent deux renflements à la base de la queue, logement des hémipénis.