Le mot calcul vient du mot d'origine latine calculus : caillou, il est dit que les bergers comptabilisaient leurs moutons avec des cailloux dans un pot à l'entrée et à la sortie de la bergerie.
Se dit d'une combinaison (obéissant à des règles précises) de symboles (généralement des numéros) avec des opérateurs (dont les plus simples sont l'addition, la soustraction, la multiplication et la division) pour obtenir un résultat précis.
Plusieurs types de calculs sont utilisés pour plusieurs types de besoins ou de métiers. Ainsi l'on différencie aisément le calcul mental utilisé couramment pour des opérations généralement simples (payer un commerçant avec de la menue monnaie, compter le bénéfice à tirer de la vente d'une tête de son troupeau, etc.) du calcul statistique qui servira, par exemple, à établir des courbes et des schémas de croissance de la population dans un environnement donné. En vrac, on parle de : calcul numérique, différentiel (infinitésimal), des probabilités, matriciel, symbolique, logarithmique, vectoriel, booléen, intégral, propositionnel, statistique, scientifique, analytique, trigonométrique, littéral, ensembliste, algébrique, binaire, des dérivées, etc.
Historiquement
Il est ainsi utilisé aujourd'hui aussi bien pour trouver que pour prouver un résultat.
Longtemps, le calcul est resté une affaire demandant des opérateurs humains, même s'ils étaient assistés d'auxiliaires mécaniques (boulier, abaque...). Les choses changent d'allure avec le calcul automatique.