Les juvéniles sont vendus par les marchands de poissons pour l’aquariophilie.
En raison de sa taille et de sa vitesse de croissance, il n’est pas recommandé, sauf dans de très grands aquariums, en groupe de 5 individus ou plus pour les jeunes. C’est par ailleurs un poisson qui prend facilement peur et peut se blesser sur les parois ou éléments de décor quand il cherche à fuir (il est réputé avoir une mauvaise vue et vit effectivement dans une eau généralement turbide, mais un bon odorat). Il est peu facile à élever en aquarium (dans la nature, c’est un migrateur qui exploite de vastes volumes d’eau et sort des fleuves pour se nourrir dans les zones inondées). Une variété albinos existe
Les aspects sanitaires sont discutés : en particulier à cause du risque de présence de contaminants dans la chair des poissons, et de l’utilisation peu transparente d’antibiotiques (légaux ou non du point de vue de la FAO ou de la réglementation des États-Unis ou de l’Union européenne) dans les élevage. Une antibiorésistance a été détectée chez la flore bactérienne des poissons. L’achat de médicaments vétérinaires serait d’ailleurs devenu le troisième poste des coûts de production (> 5 %). La production intensive et concentrée d'animaux génétiquement peu diversifiés accroit le risque de pathologies transmissibles et antibiorésistantes, ainsi que les impacts en termes de pollution par les rejets aquacoles, ainsi que les impacts indirects en amont, notamment pour la production des farines alimentaires.