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Feuilles et fleurs | |||||||||
Classification classique | |||||||||
Règne | Plantae | ||||||||
Division | Magnoliophyta | ||||||||
Classe | Magnoliopsida | ||||||||
Ordre | Rosales | ||||||||
Famille | Rosaceae | ||||||||
Genre | Sorbus | ||||||||
Nom binominal | |||||||||
Sorbus aria subsp. aria (L.) Crantz 1763 |
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Classification phylogénétique | |||||||||
Ordre | Rosales | ||||||||
Famille | Rosaceae | ||||||||
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L'alisier blanc (Sorbus aria) est un arbre de la famille des Rosaceae originaire du sud de l'Europe [1].
L'alisier blanc est un arbre hermaphrodite à tronc droit et à houppier ovoïde pouvant mesurer de 3 à 20 m.
Son écorce est grise, ses feuilles alternes, irrégulièrement dentées, tomenteuses blanches dessous
Il porte au milieu du printemps des inflorescences en corymbe pollinisées par entomogamie.
Ses fruits sont des drupes disséminées par voie endozoochore.
L'alisier blanc apprécie les zones de rochers, rocailles, bois secs, les chênaies pubescentes, hêtraies sèches, forêts collinéennes à tendance sèche, pineraies, fruticées, les forêts acidiphiles submontagnardes et montagnardes, limite de la forêt
Le croisement de l'alisier blanc avec le poirier commun a donné naissance à un hybride intergénérique nommé X Sorbopyrus auricularis.