École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques de Besançon | |
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Devise | Le futur, précisément. |
Nom original | Institut de Chronométrie et Micromécanique de Besançon |
Informations | |
Fondation | 1902 |
Type | École d'ingénieurs () |
Budget | 15 millions d'euros |
Localisation | |
Ville | Besançon |
Pays | France |
Région | Franche-Comté |
Campus | 26 rue de l'Epitaphe (site Temis) |
Direction | |
Directeur | Bernard Cretin |
Chiffres clés | |
Personnel | 150 |
Enseignants | 250 |
Enseignants-chercheurs | 60 |
Étudiants | 1000 |
Premier cycle | 0 |
Deuxième cycle | 370 |
Troisième cycle | 30 |
Doctorants | 34 |
Niveau | Bac+8 (Doctorat) |
Diplômés/an | 400 |
Divers | |
Affiliation | Polyméca |
Site internet | www.ens2m.fr |
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L'école nationale supérieure de mécanique et des microtechniques de Besançon est une École nationale supérieure d'ingénieurs faisant partie du réseau Polyméca.
ENSMM se prononce « N SEM», ce qui peut amener à confondre cette école avec l'École nationale supérieure d'électricité et de mécanique de Nancy.
Selon les générations, les élèves et anciens élèves s'appellent entre eux « Chronos » (« Chronottes » pour les diplômées) ou « Meuh-meuh » pour les promotions les plus récentes.
L’ENSMM est un établissement public à caractère administratif rattaché à l’Université de Besançon.
C'est en 1902 que l'Université de Franche-Comté crée le Laboratoire de chronométrie, ancêtre de l'actuelle ENSMM. Au fil des compétences accumulées dans ses domaines de recherche, ce qui n'était au départ qu'une annexe de l'université devint en 1928 une école à part entière : l'Institut de chronométrie et de micromécanique.
En 1961 elle prend le nom d'ENSCMB (École nationale supérieure de chronométrie et micromécanique de Besançon) et devient l'année suivante une ENSI.
Les développements, puis déclins et révolutions industrielles dans le domaine de l'horlogerie amenèrent l'École à se transformer et à réorienter ses activités vers la mécanique, la mécatronique et les microtechniques, devenant ainsi en 1980 l'ENSMM (École nationale supérieure de mécanique et des microtechniques).
En 1995, l'ENSMM déménage dans un nouveau bâtiment situé sur le site de TEMIS (Technopole microtechnique et scientifique) et bénéficie dès lors de 24 000 m². Une nouvelle extension du bâtiment (amphi de 400 places) est d'ailleurs à l'heure actuelle en construction. Géographiquement, l'Ensmm est située à côté de la maison des Microtechniques, de l'Institut Pierre Vernier (centre de transfert), du coeur du pôle de compétitivité en Microtechniques et du futur bâtiment de recherche Femto.
Dépassant au début du XXIe siècle les 3000 ingénieurs diplômés, avec plus de 200 élèves par promotion, l'ENSMM est le premier centre français de formation dans les domaines de l'ingénierie des systèmes micromécaniques et des microtechniques.
Directeurs successifs : Jules Haag, Pierre Mesnage, Raymond Chaléat, Jean-Louis Vaterkowski, Jean-Claude Gelin, Bernard Cretin.