Tecomah - Définition
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Introduction
| TECOMAH, l’Ecole de l’Environnement et du Cadre de Vie | |
|---|---|
| Informations | |
| Fondation | 1963 |
| Fondateur | CCIP |
| Type | École consulaire |
| Localisation | |
| Ville | Jouy-en-Josas |
| Pays | France |
| Région | Île-de-France |
| Direction | |
| Directeur | Laurent TRILLES |
| Chiffres clés | |
| Étudiants | 1000 |
| Divers | |
| Site internet | www.tecomah.fr/ |
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TECOMAH, l'Ecole de l'Environnement et du Cadre de Vie
Chemin de l'Orme Rond - 78350 Jouy-en-Josas
Au sein d’un campus paysager de 120 hectares, aux portes de Paris, TECOMAH est une des onze écoles de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris, au service de la formation des apprenants et de la satisfaction des besoins de recrutement des entreprises.
Dédiée aux activités de la « filière verte » depuis 1963, TECOMAH propose des formations aux métiers de l’environnement et du cadre de vie.
L’école forme chaque année 1.000 étudiants dont 70 % par la voie de l’apprentissage. Une trentaine de programmes de différents niveaux, en temps plein et en alternance, couvrent les domaines suivants :
- aménagement et valorisation des espaces paysagers (espaces verts , spécialisation en terrains de sport, horticulture, travaux publics),
- gestion et maîtrise de l’eau,
- commercialisation et management en agro-business (agrofourniture, agroalimentaire),
- restauration et service de salle (cadre de vie).
Les programmes dispensés par TECOMAH répondent à des enjeux environnementaux, sociétaux et économiques majeurs.
Le parc de TECOMAH et son histoire
D’une superficie totale de 120 hectares et propriété de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris, ce parc faisait autrefois partie du domaine du château de Jouy. À l’origine, il avait été dessiné à la française, avec des miroirs d’eau. Sous Louis XIV, ce sont de beaux jardins de style français qui ornaient le plateau, derrière les bâtiments où s’assemblaient des sources.
C’est au milieu du XVIIIe siècle que le duc d’Harcourt, promoteur du style anglais, commença à rompre les lignes rigides du jardin. L’aspect du parc se mit à changer pour prendre progressivement l’esthétique d’un jardin de style anglais. La pittoresque grotte est son œuvre. Pendant la révolution, le château ne subit aucune déprédation.
En 1799, la châtelaine de Jouy vendit le domaine à Alexis d’Ablon qui le céda deux ans plus tard à Armand Séguin. Le grand travail de transformation du parc fut accompli par Armand Séguin qui fit également reconstruire le château par l’architecte Bienaimé, au début du XIXème. Séguin établit la rivière à l’anglaise – les étangs actuels – et planta des arbres magnifiques : sophoras du Japon, tulipiers et conifères qui forment avec les bois et les étangs un cadre admirable, très poétique.
Au XIXe siècle, le fameux banquier parisien Adolphe-Jacques Mallet devint le nouveau propriétaire. À partir de 1841, il poursuivit l’enrichissement botanique du parc en introduisant notamment de nombreuses variétés de rhododendrons. Le château de Jouy et son parc sont demeurés entre les mains de la famille Mallet jusqu’en 1955.
Aujourd’hui, le parc continue d’abriter des espèces remarquables : séquoias, cèdres, tulipiers.
En 1963, la Chambre de commerce et d’industrie de Paris y implante l’École des Hautes Études Commerciales (HEC) et TECOMAH, devenue l’École de l’Environnement et du Cadre de Vie.
