Le Dernier Message de Samy Klein - Définition
Source: Wikipédia sous licence CC-BY-SA 3.0.
La liste des auteurs de cet article est disponible ici.
La liste des auteurs de cet article est disponible ici.
Références et Notes
- Voir, Lazare, 1987, p. 389, note 17.
- Dans l'ouvrage de Edmond Fleg, le "Testament" [sic] est publié à la page 586.
- Samy Klein insiste bien dans le préambule que ce n'est pas un testament!
- Voir, Amalek.
- Publié aux Éditions C.L.K.H.
- Voir, Message de Samy (Extraits). Extrait de "Souviens-toi d'Amalec", par Shimon Hammel (Chameau).
- Voir, Les dernières volontés du rabbin Klein.
- Impliqué tout de suite après ses études rabbiniques et son service militaire, par la guerre et la résistance, tout en étant un éducateur, et constamment en déplacement, Samy Klein n'a pas de possessions physiques. Le seul héritage qu'il laisse est spirituel.
- Notons que Samy Klein sera fusillé!
- Formule traditionnelle dans le judaïsme pour rappeler la mémoire d'un disparu. Il est évident que dans le cas de Samy Klein, c'est plus qu'une formule mais l'expression d'un sentiment profond.
- Au début de la Première Guerre mondiale, Raphaël Klein, comme français, est interné au camp de prisonniers civils de Holzminden. Il meurt, en 1918, à l'âge de 29 ans, des suites de l'épidémie de grippe espagnole et des mauvais traitements subis au camp.
- Marguerite Klein, l'épouse de Samy Klein.
- Samy et Marguerite Klein se sont mariés durant la guerre à Vichy, le 29 juin 1941. Samy écrit ce texte le 24 mai 1944 et sera fusillé le 7 juillet 1944. Donc, pratiquement, exactement, trois années de mariage.
- Selma Klein, née Kottek.
- Annie Rose, l'aînée est née peu de jours après l'invasion de la Zone Libre (Zone Sud), en novembre 1942. Elle a donc un an et demi. La seconde fille, Elsie, est née en février 1944. Elle a à peine trois mois.
- Le sens à donner à Israël ici est le peuple juif ou les juifs
- Il suit en cela le Traité des Pères (Pirke Avot) 5:25.
- C'est l'âge de la Bat Mitsva, de la majorité religieuse.
- Éclaireurs Israélites de France.
- C'est-à-dire des membres actifs de la communauté. Voir l'histoire de sa famille.
- Raphaël Klein. Samy Klein avait trois ans au moment du décès de son père. Il a du en entendre beaucoup parler par sa mère, restée veuve, et sa famille.
- Marguerite Klein est docteur en médecine. Elle continuera de participer au Mouvement des Éclaireurs Israélites de France. Pendant des années, elle sera Commissaire de la Branche Féminine, puis Présidente du Mouvement. A la Fédération Française des Éclaireuses (Voir, Éclaireuses éclaireurs de France ou EEDF), elle représente les Éclaireuses Israélites.
- C'est-à-dire le judaïsme orthodoxe.
- Le mouvement de jeunesse juive orthodoxe que Samy Klein avait contribué à fonder.
- Parti et mouvement juif orthodoxe sioniste.
- Le Comité de coordination de la Jeunesse Juive de France.
- L'École rabbinique de France (Séminaire Israélite de France ou SIF), 9, rue Vauquelin à Paris.
- La position d'Aumônier de la jeunesse juive avait été créé en France pour la première fois et spécifiquement pour Samy Klein.
- Le Consistoire central est localisé à Paris.
- L'équipe Nationale des Éclaireurs Israélites de France.
- Il s'agit de Aron Wolf
- L'épouse de Aron Wolf qui survivra à la guerre.
- La fille de Aron et de Blima Wolf.
- C'est le mot "charme" en hébreu (en translitération).
- Le Consistoire central.
- Voir, le Talmud Chabbat 127A où il est mentionné que l'étude de la Torah est équivalente à toutes les autres bonnes activités combinées. Ce passage fait partie du début de la prière du matin.
- Une fois par semaine, Aron Wolf donne des cours de religion à des jeunes, pour la plupart des anciens éclaireurs, dans la ferme-école de Saint-Germain près de Villemotier, dans l'Ain. Lors d'un de ces cours, la Gestapo l'arrête et le fusille immédiatement dans la cour de la ferme. Les corps des cinq fusillés du 19 mai 1944 de la ferme de Saint-Germain et des trois fusillés du 7 juillet 1944 - Samy Klein, Henri Klein et André Elbogen - sont transférés en même temps, après la guerre, au cimetière israélite de Lyon, rue du rabbin Abraham Bloch.
