École supérieure d'ingénieurs en génie électrique | |
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Généralités | |
Création | 1901 |
Pays | France |
Adresse | Saint-Étienne-du-Rouvray |
Site internet | www.esigelec.fr |
Cadre éducatif | |
Type | École d'ingénieurs |
Population scolaire | 1120 élèves ingénieurs |
Formation | Prépa intégrée |
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L'ESIGELEC est une École Supérieure d'Ingénieurs généralistes sous statut privé, créée en 1901, reconnue par l’État, installée à Rouen depuis 1978, soutenue par la Chambre de commerce et d'industrie de Rouen (CCIR) qui la cogère dans le cadre d’une association loi de 1901 avec la Société des Ingénieurs en Génie Électrique (SIGELEC) regroupant les anciens élèves. En 2008, une nouvelle gouvernance se met en place incluant outre la CCIR et la SIGELEC, les entreprises (grands groupes et PME), les collectivités, et l’enseignement supérieur.
Environ 7 000 diplômés depuis sa création. Un effectif total d'environ 1120 étudiants et 230 enseignants et personnels dont 95 permanents. Des promotions de 300 élèves ingénieurs, dont 90 apprentis. 4 départements, 8 laboratoires, un Institut de recherche.
Une pédagogie par projet.
Un éventail de 12 dominantes technologiques et de 9 approches métiers.
12 dominantes bilingues français-anglais dont l'une entièrement déclinée en anglais.
70 conventions avec des universités ou écoles d’ingénieurs dans 30 pays. Un réseau de 3 000 entreprises dont 400 à l’étranger. Une période à l’étranger obligatoire : universités d'été, stages, semestre, année de césure, ou en dernière année dans le cadre d’un Master.
La possibilité d’une double compétence :
Un Institut de recherche à finalité industrielle, IRSEEM, en convergence avec les besoins des industries automobiles, aéronautiques ainsi qu’électroniques et télécommunications. La possibilité de créer sa propre entreprise à vocation haute technologie dans le cadre de l’antenne ESIGELEC de l’incubateur régional.
L'ESIGELEC forme des ingénieurs dans les dominantes suivantes :
Pour l'année 2009, 2 nouvelles dominantes devraient voir le jour :
NB : La dominante Électronique Télécommunication et Hyperfréquences (ETH) n'existe plus.
Il est aussi possible de poursuivre un 3e cycle dans les mastères suivants :