En premier lieu, rappelons le concept de musique : c'est L'art de combiner les sons. La musique étant composée de sons, et ces derniers étant constitués de vibrations, les premiers essais d'amplification relèvent du domaine de la physique : les mouvements ondulatoires, et en particulier l'acoustique. Hi-fi: issu de l'anglais "High Fidelity" (haute fidélité)
La manipulation électrique du son est possible grâce à l'électromagnétisme.
En effet une variation du champ magnétique à proximité d'une bobine électrique produit un courant électrique induit.
Pour vanter les qualités de reproduction de leurs appareils et fournir des indicateurs de comparaison, les fabriquants de matériels électroniques de traitement de reproduction des sons, ont dans les années 60 introduit la notion de Haute Fidélité ou Hi-Fi pour High Fidelity.
Un amplificateur prend en entrée un signal de faible amplitude et l'amplifie à un niveau utile pour l'équipement qui y sera relié en sortie.
Lorsque le signal d'entrée est très faible (quelques millivolts, voire moins) on utilisera un préamplificateur, dont le rôle sera d'amener cette tension à un niveau relativement immune au bruit (quelques volts). La sortie du préamplificateur sera reliée à l'entrée de l'amplificateur de puissance, qui à son tour pourra générer le courant nécessaire à l'alimentation du haut-parleur.
Les premiers amplificateurs électroniques utilisaient la technologie des lampes, avant d'évoluer vers le transistor bipolaire. Aujourd'hui on trouve toujours des amplificateurs à lampes, mais la majorité des unités produites utilisent le transistor, bipolaire ou FET. L'un des avantages des transistors est leur faible encombrement qui rend possible la réalisation de circuits intégrés de puissance, où tout le circuit d'amplification est regroupé dans un seul composant.
Une des différences entre les technologies lampe/transistor est la production possible d'harmoniques impaires par les transistors, rendant le signal reproduit moins agréable à l'oreille que celui reproduit par les lampes, où ce sont les harmoniques paires qui seront produites. Néanmoins les transistors à effet de champ (FET) partagent cet avantage avec les lampes.
Par opposition à analogique, on parle de traitement numérique du son, lorsque les traitements sont accomplis sur le résultat de la numérisation du signal d'entrée.
Parmi les activités sonores les plus étonnantes du XXe siècle : la phonographie.
En résumé, on a trois types d'instruments: les capteurs, les transformateurs et les restitueurs. Dans les musiques modernes, qui utilisent facilement les musiques amplifiées, on retrouve des configurations de base.
Les capteurs sont appelés microphones (en abrégé micros). Il existe des microphones pour la voix et des microphones adaptés pour des instruments dits " acoustiques ". Les instruments appelés " électriques " ont des microphones intégrés, et on peut brancher un câble directement sur l'instrument. Actuellement, les technologies de transmission sans fil par ondes radio permettent de limiter l'utilisation des câbles.
Le transformateur principal est l'amplificateur. Celui-ci restitue le son, avec plus ou moins de puissance, selon les réglages. Souvent couplée à l'amplificateur, la table de mixage permet de gérer plusieurs entrées et sorties de son. En effet c'est sur cette table que l'on effectue la " balance " d'un groupe: chaque niveau est réglé, et le son perfectionné (aigus, graves, effets sonores).
D'autres machines, parfois intégrées à la table de mixage, ou parfois externes, permettent d'ajouter un effet spécial sur un son. En effet, on ajoutera facilement de la réverbération ou de la compression dynamique sur une voie. Certaines se trouvent sous forme de pédale, permettant d'être actionnées par le pied tout en jouant. Parmi ces effets, on peut citer :
Les haut-parleurs transforment un signal électrique en onde sonore.