Kobol est la planète mère d’où tous les humains sont censés venir. À un moment donné la planète prospérait ; elle était dirigée par les Seigneurs de Kobol, qui vivaient — disait-on — avec les Dieux. Par la suite, cependant, le peuple de Kobol devint corrompu, décadent, et brutal. Ils pratiquaient même des rites de sacrifices humains. Il en découla que les Dieux de Kobol chassèrent les treize tribus d’humains qui vivaient avec eux. Douze d’entre elles s’établirent sur les Douze Colonies, la treizième se dirigea vers la Terre.
L’œil de Jupiter est une alcôve à l’intérieur du Temple des cinq, situé sur la planète des algues. Un puits de lumière venant du plafond permet d’éclairer le mandala. Le dessin ressemble à la supernova de l’œil de Jupiter et au dessin que faisait le lieutenant Thrace lorsqu’elle était enfant.
La planète a été nommée en référence à Caprica, la principale planète des Douze Colonies de Kobol. Elle fut découverte fortuitement, par un vaisseau Rapace auquel on avait fourni des coordonnées de bond PRL erronées. La principale caractéristique de cette planète est que son système solaire est noyé dans une nébuleuse, dont les perturbations électromagnétiques rendent toutes détections radar impossibles. Elle est donc cachée.
C'est une planète froide et peu hospitalière, dont seule une étroite bande autour de l'équateur est habitable pour les humains. Cependant, la planète étant cachée aux Cylons par la nébuleuse, le Président Gaïus Baltar ordonna d'y installer la flotte des survivants humains qui avaient échappés à la destruction des Douze Colonies de Kobol par les Cylons. Malgré le fait que la planète soit en majorité inhospitalière, la majorité des survivants furent d'accord, lassés de vivre entassés dans des vaisseaux spatiaux depuis presque un an. D'ailleurs, l'installation permanente sur cette planète fut le seul argument de Baltar lors des élections présidentielles, ce qui lui permis d'être élu.
Cependant, l'incapacité de Baltar à gouverner, le climat rude et le manque de matériel rendirent la colonisation chaotique, et de plus en plus de survivants commencèrent à regretter leur choix.
Les humains installés sur la Nouvelle Caprica construisirent leurs nouvelles maisons dans le lit d’une rivière asséchée. Le climat de la planète humide et morne transforma le lit de la rivière en boue. En plus de cela, l’humidité et le froid ont conduit certains colons à développer des maladies comme la grippe et la pneumonie.
380 jours après le début de la colonisation, les Cylons trouvèrent Nouvelle Caprica et l'occupèrent, laissant Baltar diriger un gouvernement de collaboration. De plus, la flotte de guerre en orbite dut s'enfuir, laissant les derniers membres de l'Humanité à la merci des Cylons.
Sagitarron est vraisemblablement une colonie délaissée, privée du droit de vote, victime séculaire de pouvoirs tyranniques tant extérieurs que domestiques. Les Sagitarrons ne croient pas en la médecine moderne et soignent maladies et blessures à l'aide de remèdes traditionnels et de prières. Il semble qu'il existe une sorte d'aversion d'une partie des autres coloniaux vis à vis des ressortissants sagitarrons. Dans la série originelle, Sagitarron qui porte le nom de Sagitarria fut attaquée en priorité car elle faisait partie des colonies internes (gravitant autour de l'étoile principale) au même titre que Caprica et Virgon. (le fait qu'elle possèdait la meilleure défense des douze colonies a sans doute compté.)
Scorpia, planète qui abrite la colonie du même nom, est détruite au commencement de l'histoire de Battlestar Galactica lors d'une attaque furtive par les cylons.
Le jeu de rôle BattleStar Galactica RPG présente de façon plus approfondie cette colonie. Néanmoins, les informations sur la position des colonies sont différentes entre Galactica, Battlestar Galactica et le jeu BattleStar Galactica RPG. Scorpia est la troisième lune de la géante gazeuse . Sur d'autres orbites de Zeus, se trouvent également et .
La végétation de cette petite lune est composée de forêt et de plantes exotiques qui poussent malgré la rigueur d'un climat froid.
Ses colons, les scorpions, sont considérés comme froids et calculateurs. En toute logique, on peut se demander si Ronald D. Moore ne pensait pas aux Vulcains de Star Trek en ébauchant les scorpions. En raison de ce caractère, les scorpions n'entretiennent pas de bonnes relations avec les deux autres colonies gravitant autour de Zeus. Néanmoins Scorpia entretient des liens solides avec Tauron qui lui permettent d'asseoir son influence au sein du système. Pour tenter de mettre fin aux tensions entre les trois lunes de Zeus, il a été décidé que Leonis construirait les navires de guerre de la flotte coloniale, Scorpia les entretiendrait, et Picon administrerait tout cela.
C'est ainsi Scorpia était le siège de la flotte coloniale jusqu'à l'attaque des cylons. Scorpia abrite donc un chantier spatial pour la maintenance des battlestars et d'autres engins spatiaux. Le Pegasus allait s'arrimer à ce chantier pour trois mois de maintenance. L'attaque fut meurtrière mais le Pegasus réussit à fuir en faisant un bond PRL au hasard. Deux autres battlestars eurent moins de chance et furent détruits en même temps. La colonie a été durement frappée comme les onze autres colonies.
La station d’Armistice est un espace diplomatique qui apparaît au début de la télésuite. Cette station a été construite après la fin de la première guerre avec les cylons pour que les Humains et les Cylons aient un endroit neutre pour continuer leurs accords de paix. Durant quarante ans, les colonies ont envoyé chaque année un représentant. Les cylons ne sont jamais venus sauf pour détruire la station juste avant l’invasion et la destruction des Colonies.