Infanterie Impériale
On ne connaît pas vraiment le nombre d’effectif de l’Infanterie (seulement les combattants) mais on peut juste dire qu’elle représentait le double des effectifs de la Marine et que donc son chiffre semblerait être au-dessus des trente milliards d’hommes. L’infanterie était utilisée à la surface de tous les mondes impériaux. Son but était d’assurer le contrôle des mondes Impériaux, de mater des rébellions, de servir de police de proximité, ou encore de coloniser de nouveaux territoires pour l’Empire. Ces troupes connaissaient rarement l’échec grâce à leur nombre et leur force. Les meilleurs engins militaires terrestres étaient à leur disposition surpassant bien souvent la plupart des défenses adverses. Les soldats de l’Infanterie étaient adaptés à toutes les conditions possibles, que se soient en fonction de l’habitat de la planète ou du style de combat de leur adversaire, comme on le voit avec les différents corps de stormtrooper.Pour l'anecdote les soldats de l'Infanterie nouaient une certaine rivalité avec leur frère de la Marine, qu'ils surnommaient "tête en l'air". De l’officier en passant du mécanicien, à l’infirmier, du pilote au fantassin, leur idéal était le même : faire triompher l’Empire à n’importe quel prix…
Structure
- L'unité de base de l'Infanterie Impériale est l’Escouade, qui compte neuf hommes.
Toutes sont homogènes (escouades de fantassins, escouades de tireurs d'élite, d'artilleurs, de soldats du génie...) et sont sous l’autorité d’un sergent qui totalise le neuvième homme. Les sergents impériaux sont des hommes totalement dépourvus de sentiment vis-à-vis de la peur, ce qui se répercute sur leurs hommes et qui en font ainsi de si bons soldats, leur entraînement et leur endoctrinement soignés y sont pour quelque chose. Le sergent était en quelque sorte le lien direct de ces hommes à l’ordre nouveau et permettait que les hommes n’oublient jamais pour qui ils se battaient. Pour permettre le bon déroulement de certaines opérations, le sergent pouvait être amené à nommer temporairement un de ses hommes caporal. Ces unités de fantassins étaient très flexibles. Une escouade d'éclaireurs se compose de deux « lances » de cinq hommes chacune et compte deux sergents, chacun ayant la charge de quatre hommes. Cette configuration est jugée préférable car les risques sont supérieurs à ceux des missions d’Infanterie classique. Pour les unités de blindés ou d'artillerie, la discipline était excessivement stricte et implacable, au détriment de l'esprit d'initiative. L’escouade est différente quand il s’agit de blindés car ce sont généralement deux véhicules de même type qui travaillent en tandem.
- Quatre escouades forment un Peloton, dirigé par un lieutenant assisté d'un sergent-major et des sergents des escouades, ce qui fait un total de 38 hommes au minimum. L’emploi du Peloton était un avantage stratégique sûr, les effectifs réduits étant faciles à gérer, elle peut facilement être déployée côte à côte avec une unité d'un autre type : fantassins avec une escouade de blindés, tanks en protection rapprochée d'une unité d'artillerie à grande portée et ainsi de suite. La nature essentiellement offensive des campagnes militaires impériales imposa naturellement la création du Peloton d'Assaut, formé de deux escouades de fantassins et de deux escouades de tireurs équipés d'armes lourdes. Cette configuration s'avéra à la fois adaptable aux contraintes du combat dans de multiples milieux et parfaitement efficace pour neutraliser les points de résistance et les camps retranchés durant les opérations d'invasion urbaine.
Le Peloton blindé est composé de quatre ou cinq véhicules de même type mais ces effectifs sont doublés lorsque des véhicules blindés légers sont utilisés. Les pelotons blindés sont toujours suivis de deux véhicules de transport qui convoient les pièces, munitions et carburant nécessaires ainsi que les équipes techniques du peloton. Les Pelotons n’ont que très rarement ces effectifs officiels dans la mesure où le style de missions requièrent d’avantage d’unités, spécialisées ou non.
- La Compagnie rassemble quatre pelotons placés sous le commandement d'un capitaine épaulé par quatre officiers d'état-major au grade de lieutenant. Chacun de ces quatre officiers a son rôle spécifique au sein de la compagnie : commandant adjoint, officier responsable de la maintenance, officier médical et officier technique. Ces lieutenants ont sous leurs ordres vingt-trois hommes indépendants des pelotons qui comprennent quatre médecins, huit intendants et onze techniciens, formant les services annexes. Une compagnie a pour effectif 152 personnes. La Compagnie est également la plus petite unité à laquelle puisse être affectée un contingent permanent de droïdes qui sont dédiés habituellement aux services annexes, leurs effectifs pouvant dépasser la centaine de droïdes.
Les compagnies blindées sont en fait des compagnies mixtes infanterie/véhicules d'attaque/artillerie sur répulseurs. Leurs effectifs varient de 200 à 232 hommes et comptent quatre pelotons d'infanterie (144 hommes), trois pelotons blindés (environ 20 véhicules) et un peloton d'artillerie. Cette répartition est elle aussi souvent modifiée en fonction du profil de la mission de la compagnie blindée qui compte entre 20 et 40 chars ou véhicules équivalents (y compris bipodes impériaux). Diverses configurations de compagnies sont encore possibles selon que l'on ait affaire à une compagnie de garnison, de percement ou autre, l'articulation se faisant principalement au niveau des pelotons, de leurs effectifs et de leur composition.
L'artillerie d’une compagnie appelée « batterie » compte 175 hommes qui sont répartis soit en 16 pièces d'artillerie lourde, soit en 32 pièces d'artillerie légère.
- Le Bataillon comprend quatre compagnies dirigées par un Major qui a sous ses ordres quatre capitaines, ses effectifs sont en principe 810 hommes dont 608 combattants. Les Bataillons sont considérés comme des forces opérationnelles ayant des profils de mission spécifiques, ce qui induit que des compagnies et des pelotons soient affectés vis a vis de ces profils.
Les bataillons d'assauts sont mixtes tandis que ceux à répulsion, principalement employés pour couvrir rapidement de vastes étendues en cours de pacification, peuvent contenir jusqu'à 115 véhicules et 40 motojets ainsi que leurs équipages en plus des 608 combattants de l'ordre de bataille standard. Le bataillon blindé compte 93 tanks et 55 landspeeders et s'accompagnent d'effectifs dépassant le millier d'hommes. Le bataillon d'artillerie lui dénombre près 96 pièces montées sur répulseurs. Pour des opérations-éclairs, des bataillons d'opérations spéciales étaient employés, ils ne comptaient que 746 hommes mais dont les 544 combattants étaient parfaitement capables de mener les opérations de raids stratégiques et d'invasion de QG propres à la guerre éclair.
- Le Régiment comprend quatre bataillons. En théorie le régiment d'infanterie compte deux de ces bataillons composés exclusivement de fantassins, le troisième est un bataillon d'assaut mixte (infanterie/blindés/artillerie en proportions diverses) et le dernier est composé de véhicules à répulseurs destinés à transporter l'ensemble du régiment. Ce qui donne régiment qui a pour effectif 3 530 hommes dont 2 558 combattants et dispose de 130 véhicules ainsi que de 200 droïdes. Tous ces effectifs sont dirigés depuis le QG et placés sous la responsabilité d’un lieutenant-colonel. Le régiment d'infanterie est considéré comme une unité parfaitement autonome, cependant son régiment blindé n'est normalement jamais déployé seul mais avec le Groupe de Bataille.
Le Régiment est doté d’un QG fixe dès qu’il est possible de l’établir sur le théâtre des opérations. Il est le centre de commandement du régiment et contient un hôpital et des ateliers de réparations
- Le Groupe de Bataille comprend un état-major de neuf officiers dont quatre majors et cinq lieutenants-colonels qui sont sous les ordres du Colonel et l’ensemble du groupe de bataille est dirigé par un QG qui nécessite 274 personnes. Un Groupe de Bataille est une force d'attaque qui compte au minimum 14 410 hommes, 10 219 d'entre eux étant des combattants. Ces unités sont divisées en un nombre fixe de régiments, bataillons ou pelotons, car le Groupe de Bataille est une unité opérationnelle flexible.
Pour des d'opérations à grande échelle de l'Armée Impériale, certains « groupes de batailles auxiliaires » sont composés entièrement de volontaires de la CompForce (la division armées du COMPORN) ou, si l’on prend en compte la marine, d'une escadre de chasse/bombardement qui compte 40 appareils répartis en 10 ailes de quatre appareils (pour un total de douze bombardiers, quatre TIE de reconnaissance et vingt-quatre TIE de chasse/soutien/couverture aérienne).
- Le Corps d'Armée est en quelque sorte la version supérieure du Groupe de Bataille.
Il est commandé par le Major Général qui est un général de campagne. Le CA se voit généralement intégré à une force spatiale, pour des missions Marine/Infanterie dans le but de prendre contrôle de planète en pulvérisant les défenses spatiales pour permettre le bon acheminement des forces d’invasion. Un corps d’armée compte 69 199 hommes dont 48 541 soldats. Elle comporte près de 2 500 véhicules à répulseurs et 371 blindés. Son QG est sous haute protection, pas moins de 152 soldats indépendants de la structure du Corps le défendent, il inclut 50 agents du BSI, ainsi que 492 officiers et responsables de la logistique, et un agent de liaison des Renseignements Impériaux. Néanmoins ces chiffres sont les chiffres standards bien souvent les Corps d’Armée étaient bien plus considérables.
- Une Armée est composée au strict minimum de deux bataillons et pouvait aller jusqu'à quatre Corps d’Armée. Cette unité est sous les ordres d’un Général. Le QG d’une armée comprend 1 855 personnes ainsi que 4 000 droïdes, ajouté à 471 soldats du CompForce et 200 agents du BSI, et au minimum quatre agents de liaison des Renseignements Impériaux.
Une armée est considérée comme une force de garnison, d’occupation ou une division administrative d’une force d’invasion chargée d’un territoire planétaire. De ce fait, aucune armée n’est identique, en dehors de la composition de leurs quartiers généraux.
- L’Armée de Système rassemble toutes les forces terrestres de l'Empire dans un système stellaire. Elle est sous les ordres d’un Général. Le QG, l'autorité militaire par excellence des forces terrestres de ce système, rend compte directement à la fois au Moff local et à la hiérarchie de l'Armée Impériale. Elle comporte des hommes du BSI de la CompForce, des Renseignements Impériaux ainsi que bien entendu des dizaines de bataillons de soldats.
- L'Armée Sectorielle est dernier échelon de l’Infanterie Impériale. Elle est commandée par un Maréchal. Le nombre de ses effectifs est très variable cependant sa configuration standard est de 1 180 309 hommes dont 774 576 combattants et elle dispose de 66 640 véhicules à répulseurs et 13 992 blindés.
Ces chiffres ne représentent que rarement la réalité car ils ne tiennent pas compte des Bataillons et Corps d’Armée dédiés à l’occupation de mondes spécifiques, ni des forces d’invasions en garnison dans le secteur ou qui s’occupe de mater les dernières poches de résistances.
Équipement
L’Empire avait acquis au cours du temps une impressionnante gamme d’engins militaires de pointe surpassant bien souvent leurs adversaires. Comme dans toutes les armées dignes de ce nom, les véhicules blindés étaient l’une des bases, base que l’empire avait acquis avec brio. Pour tous les types de terrains, il avait fait développer un engin capable de provoquer la peur et la destruction. En voici l’énumération :
- Nombreux sont ceux qui ont croisés le célèbre TR-TT (transport de reconnaissance tout terrain), cette engin développé par les chantiers navals de Kuat était extrêmement efficace pour se faufiler dans des zones inaccessibles à d’autres véhicules plus massifs (il atteignait une vitesse de 90 km/h). Son rôle était vaste, patrouille, support de troupe, défense de zone, on le trouvait sur tous les fronts. Sa puissance de feu accrue était redoutable (un double canon laser, un lance torpille à concussion, et un blaster léger). Il était la terreur de bien des fantassins et véhicules légers adverses, seuls des engins lourds et des bâtiments blindés lui résistaient…
- Le petit mais rapide TP-TT (transport personnel tout terrain) de l'Ingénierie Lourde de Rothana, n’était plus guère employé sous l’Empire que par quelques garnisons isolées, malgré tout il s’avérait un féroce combattant : équipé de deux canons blasters et d’un lance grenade à concussion, il pouvait faire défaut à bon nombre de fantassins…
- Le TB-TT (transport blindé tout terrain) des chantiers navals de Kuat est sans aucun doute le meilleur engin d’assaut au sol de l’Empire et de la galaxie. Mesurant plus de vingt mètres de haut, équipé de deux canons lasers lourds et de deux canons blasters moyens et ayant un blindage quasi-impénétrable, cet engin est la terreur de toute une galaxie. Il était adapté à tous les terrains et atteignait une vitesse de 60 km/h ; ces engins ne laissaient guère de chance à leurs adversaires. De plus, comme son nom l’indique le TB-TT transportait des troupes, jusqu’à quarante stormtroopers pouvaient se loger dans sa coque ainsi que cinq motojets. Le TB-TT était l’aboutissement direct de l’idéologie Impériale et le garant de sa force inébranlable.
- Le TB-TT Amphibie est le modèle aquatique du TB-TT terrestre. Il était tout comme son frère la terreur des mers. Il évoluait aussi bien à la surface de l’eau ou en profondeur. Sa puissance de feu était également accrue, deux canons lasers, deux tourelles lasers, et un lance torpille. Il pouvait également transporter quarante seatroopers dans son ventre.
- Le TB-AA (transport blindé anti aérien) développé par l’Ingénierie Lourde de Rothana est un véhicule crucial quand il s’agit de protéger les troupes d’une attaque aérienne. En effet peu d’appareils pouvaient espérer résister à ses projectiles (le TB- AA est équipé d’une nacelle multi projectile) mais il pouvait aussi seulement perturber ses instruments de vol. Malgré tout, il n’était pas armé pour repousser une attaque au sol ce qui le rendait obligatoirement dépendant de la protection d’autres unités. Les ingénieurs le dotèrent d’un système de brouillage complexe qui détraquait le système de guidage des missiles et ainsi le protégeait. Cet engin était un véritable atout aux troupes de l’Empire.
- Le char impérial de classe 1-H d’Ubrikkian est un char à répulsion puissamment armé d’un canon laser lourd à longue portée Mark 4e/S parmi les plus puissants et précis modèles du genre à l’époque, d’un canon blaster moyen un Mark 3/S et deux canons laser latéraux pour les combats à courtes portés. De plus ce char atteignait la vitesse de 300 km/h. Ce char représentait à lui seul une véritable menace à tous les opposants à l’ordre, de par sa puissance de feu et sa vitesse.
- Le char impérial de classe 1-L d’Ubrikkian aussi est un véhicule bien moins puissant et impressionnant que le 1-H sa puissance de feu a été diminuée car il n’est plus équipé que d’un canon blaster moyen Mark 3/S, et son équipage n’est plus composé de pilotes aguerris mais par de simples fantassins cependant habiles avec leur équipement de pointe. La vitesse de pointe est toujours de 300 km/h.
- Le char impérial de classe 1-M d’Ubrikkian également est une variante du 1-H, mais cette fois-ci, il est utilisé comme centre de commandement par les officiers de sections pour superviser la bataille et éventuellement prêter main forte aux troupes. Son armement est moindre en comparaison du 1-H mais tout de même redoutable pour tous les fantassins : un canon blaster moyen Mark 3/S et un canon blaster à répétition. Néanmoins sa vitesse n’a pas été réduite car il atteint également les 300 km/h.
- Le Char Century (ou TIE CRAWLER) de Sienar Fleet Systems est un véhicule d’assaut blindé, monté sur chenille. Sa conception était très similaire à celle du chasseur TIE de par ses systèmes de tir et de ciblage ainsi que la regrettable absence de bouclier déflecteur, néanmoins sa vitesse de pointe est de 100 km/h et il pouvait franchir aisément la plupart des obstacles et traverser les terrains difficiles. Son armement était composé de deux canons blasters jumeaux et une tourelle de turbolaser léger. Employé en masse, ces engins de combats ne laissaient aucun répit à leurs ennemis.
- Le Mauler TIE de Sienar Fleet Systems est en quelque sorte le frère du TIE CRAWLER bien que moins performant. Cet appareil est très rapide et maniable mais il n’offre pas de résistance aux armes lourdes et à l’artillerie. Son armement est constitué de trois canons lasers à répétition. Cet engin est utilisé principalement contre l’infanterie car ses compétences en matière de vitesse et de maniabilité lui permettent d’écraser aisément leurs ennemis et en fait donc un très bon appui pour les bataillons de stormtroopers, de plus il est doté d’un système d’autodestruction qui en fait un véritable kamikaze.
- Le char à répulsion lourd FireHawke S-1 de Gorm & Talquist est un des meilleurs chars de l’Empire. Son armement est pour le moins impressionnant : un canon laser lourd monté sur une tourelle, un canon blaster moyen. Malgré l’absence de bouclier son blindage résistant compense et lui permet de rivaliser avec des engins bien plus lourds que lui. Par sa vitesse de 400 km/h, il figure parmi les plus rapides véhicules de sa catégorie. Ce véhicule s’illustre en étant l’emblème de la célèbre division de blindée les Marteaux de l’Enfer, commandée par le redoutable et brillant Zel Johans.
- Le Char à Répulsion 2-M de l’Ingénierie lourde de Rothana est l’héritier du TX-130 républicain. Bien que leur aspect soit quasi identique l’armement du 2-M lui était bien supérieur : une tourelle laser jumelée moyenne était placée sur le dessus de l’appareil pivotant à 360 °, sur les deux « fourches » avant étaient installés deux canons lasers lourd, ainsi qu’un double lace missile. Allié à une coque renforcé et d’un générateur de bouclier le 2-M ne craignait que quelques rares blindés lourds. Un point important à souligné est que le 2-M en plus de posséder les deux propulseurs standard un troisième avait été ajouté dans le but d’être un propulseur de secours. Mais les Impériaux comprirent bien vite qu’il était plus utile de dévier l’énergie de ce troisième propulseur sur l’armement. Ce char était basé sur un concept ancien mes les améliorations qui lui furent apportées le transformèrent en un des meilleurs chars de son temps.
- L’aéroglisseur Swift 5 de Mekuun, est un des engins les plus polyvalents et le plus utilisé de l’Empire. En théorie utilisé comme véhicule de reconnaissance, il s’avéra être un excellent appui pour l’infanterie et les blindés. Comme son nom l’indique cet engin se déplaçait sur coussin d’air, bien que moins maniable et rapide que les engins à répulseurs, il atteignait tout de même une vitesse de 200 km/h. Son armement, lui, n’avait rien à envier aux chars de classe 1-H : un lance missiles à concussions et un canon laser à l’avant et à l’arrière un canon blaster lourd monté sur tourelle. Se basant sur une technologie qualifiée par la plupart de dépassée, le Swift 5 s’avéra être un des meilleurs véhicules de son époque.
- Le chariot VLA QH-7, ou Véhicule Léger d'Assaut de la Corporation d’Uulshos, était le véhicule de patrouille parfait, s’adaptant à tous les terrains et son faible coût a vite séduit les états majors. Son rôle n’est pas de se lancer dans des assauts mais plutôt en dernière ligne. Il était légèrement blindé et atteignait une vitesse de 100 km/h. Il pouvait monter à huit mètres d’altitude et ainsi surmonter les obstacles. Il était armé d’un seul canon laser. Il était cependant équipé d’un équipement de communication dernier cri pour planifier au mieux les décisions stratégiques sans pouvoir être piraté.
- Le traîneau à répulsion 64-Y Swift 3 d’Aratech, il avait été conçu non pas pour des raisons militaires mais d’ordre public, en effet nombre de petits malfrats, notamment les gangs de swoops, vinrent causer le désordre dans certains systèmes. Cet engin atteignait une vitesse de 800 km/h et pouvait aller à plus de vingt-cinq mètres d’altitude et, en plus de cela, il était très manœuvrable. Bien entendu, il fallait que cet enfin puisse arrêter les malfrats, les ingénieurs d’Aratech l’équipèrent donc de filets avec la faculté de générer des impulsions qui désactivent les répulseurs de l’engin qui le condamne à s’écraser, également d’un canon blaster moyen, d’un grappin pour agripper l’engin en question et des équipements derniers cris en matière de brouillage des communications et de détection. Par la suite, il fut employé dans des campagnes ou au côté des scouts troopers et autres Walkers où il brilla à merveille.
- La base mobile de commandement PX-4 de Nen Carvon a été conçue pour que les officiers suivent le combat aux plus près de leurs hommes pour mieux planifier les opérations tout en restant à l’abri. Ce quartier général est lourdement blindé, sa coque métallique mesure un demi-mètre d’épaisseur, le tout agrémenté d’un bouclier déflecteur le rendant très difficile à abattre. Son armement était uniquement composé d’un canon laser lourd et le PX-4 atteignait une vitesse de 100 km/h. Son centre de commandement, faisant donc office de quartier général, était équipé d’une multitude de senseurs très sophistiqués et d’une batterie de moniteurs retransmettant la bataille en temps réel avec des indications précises et utiles. La présence d’un de ces véhicules ne faisait que doubler la combativité des troupes.
- Le Véhicule d’Assaut Compact (VAC) PX-10 de Nen Carvon est conçu pour assurer la défense d’une position stratégique en utilisant le minimum de forces. Ainsi le PX-10 est contrôlé par un seul soldat et libère une puissance de feu accrue, rarement atteinte par un véhicule monoplace de cette taille : un puissant canon blaster monté sur tourelle. Le véhicule atteignait rapidement la vitesse de 260 km/h bien qu'il soit équipé de chenilles. Le VAC PX-10 était par ailleurs doté d’un excellent blindage et grouillait de système de propulsion, de communication. Le pilote, une fois dans la zone des combats, pouvait à sa guise s’occuper seulement de l’armement laissant la conduite à l’ordinateur quelles que soient les conditions. Déployés en masse ces engins quadrillent inlassablement la zone des combats jusqu'à ne trouver plus que les corps calcinés de leurs adversaires.
- Le Véhicule d’Assaut de Combat aquatique (VACA) Aquadon 400 de la Corporation Hydrospeare est un peu l’héritier aquatique du PX-10. L’Aquadon 400 est un véhicule rapide (75 km/h) et maniable grâce à ses chenilles qui lui permettent de se déplacer sur les fonds océaniques ou par ces propulseurs latéraux et ventraux comme un submersible normal. Son poste de pilotage est lui très intéressant car c’est un cockpit gyroscopique stabilisé qui ressemble étrangement à celui du B-wing rebelle, et permet de ne pas perdre des yeux l’objectif quelle que soit la position du véhicule. Son armement est constitué d’un canon blaster moyen et de torpilles à proton ce qui en fait un redoutable combattant.
- Le Transport d’Attaque est un véhicule aquatique lourdement armé de deux canons blasters et de deux lance-missiles à concussions ce qui en fait un véhicule particulièrement redoutable et qui compense sa vitesse qui n’est seulement que de 70 km/h.
- Le Waveskimmer est un petit appareil aquatique utilisé par les seatroopers comme l’équivalent aquatique de la motojet 74-Z des scout troopers. Cet engin est extrêmement rapide et manœuvrable, 200 km/h en surface et 70 km /h sous les eaux. Sa petite taille le rend cependant vulnérable aux attaques de véhicule plus lourd. Son armement est composé d’un petit blaster sonique délivrant de puissantes et dévastatrices charges soniques. Ce véhicule de patrouille est fortement utilisé par les garnisons impériales et permet la bonne continuité des activités impériales.
- Le TIE Aquatique de Sienar Fleet Systems est un chasseur polyvalent capable d’opérer aussi bien à la surface et dans les airs que sous les océans. Il arborait des ailes ovales et le cockpit standard des chasseurs TIE. Son armement était plus que redoutable : un canon laser lourd et un lance missiles à concussion. Comme la plupart des chasseurs de chez Sienar, la vitesse et la maniabilité extraordinaire avait été encore une fois privilégiés au détriment de bouclier. Ce chasseur était un véritable atout par sa fonction air/eau, air/air et était un appui pour les seatroopers et autres véhicules aquatiques.
- Le navire de combat TIE de chez Sienar est un chasseur de combat utilisé uniquement lors de la lutte maritime en surface. Son aspect est proche de celui du bombardier TIE classique, malgré quelques modifications au niveau des panneaux solaires. Sa vitesse est de 90 km/h, il est équipé de deux canons lasers et d’un lance missile à concussion. Il évolue généralement en tandem avec les TIE aquatiques, les seatroopers et les TB-TT amphibies pour ne laisser aucune chance à l’adversaire.
- Le transport de troupes GPT-117 d’Ubrikkian est un véhicule à plusieurs facettes. Ce véhicule est doté d’un armement suffisant (canon blaster léger monté sur tourelle) pour lui permettre de forcer des barrages ou encore repousser des forces adverses. Malgré tout, il était peu blindé et son « cul » était entièrement ouvert ce qui pouvait jouer en sa défaveur. Il est utilisé principalement dans des paysages urbains où il peut évoluer à plus de 360 km/h et contient une escouade entière.
- Le Transport de Troupes PX-7 de Nen Carvon est un véhicule à chenilles qui lui permettent de franchir quasiment tous les obstacles et d’acheminer à bon port toute une escouade ou 100 tonnes de fret à la vitesse maximal de 100 km/h. Son armement était relativement léger : deux canons blasters légers et son blindage ne couvrant pas l’intégralité de l’engin le rend susceptible aux tirs adverses. Principalement utilisé pour des missions de reconnaissance et de patrouille en tandem avec les scouts troopers, on pouvait toutefois le voir participer à de vastes assauts secondé par des blindés.
Artillerie
- Le Canon anti véhicule v-188 Penetrator de Speizoc est une arme redoutable capable d’atteindre sa cible a plus de vingt-cinq kilomètres en pulvérisant tout sur un rayon de plus de trente mètres, quasiment aucune cible ne résistait à ses rayons. Ce canon nécessitait cependant huit artilleurs et pouvait tirer de six à cinquante coups selon la configuration avant de recharger.
- L’Obusier M102 Fire Arc de chez Golan pourrait paraître démodé voire archaïque en comparaison des modèles lasers mais celui-ci figure parmi les rares exceptions. Il pouvait atteindre des cibles à vingt kilomètres et ses obus explosent sur un rayon de vingt mètres. Néanmoins cette lente et lourde machine n’avait pas une grande quantité de munitions et devait être approvisionnée régulièrement. Cependant il était équipé de senseurs très sophistiqués lui permettant de localiser une cible sans la voir et de la bombarder avec une extrême précision.
- Le véhicule d’artillerie anti-infanterie SP.9 (ou Autotracté) de chez Golan conçu spécialement pour l’Empire est un canon à moteur ionique alimentant aussi bien la propulsion que le laser. Sa vitesse est néanmoins lente, 60 km/h, il n’est pas équipé de bouclier déflecteur mais d’un blindage de trois centimètre d’épaisseur. Son canon laser spécifiquement utilisé contre les fantassins pouvait atteindre une cible à plus de 16 kilomètre, avec un rayon d’impact de plus de cinq mètre de plus grâce au moteur ionique le canon à une quantité de tire quasi illimité. Il nécessitait un équipage de trois artilleurs et un pilote chevronné, mais il était rare de voir ces engins en première ligne car plus efficace en retrait.