Références et sources
- (fr) Carl Gustav Jung, Ma vie. Souvenirs, rêves et pensées
- p. 3.
- p. 20.
- « Seule l'essence spirituelle de sa vie était pour lui inoubliable et valait la peine d'être racontée » explique Aniéla Jaffé, p. 13.
- p. 143.
- p. 30.
- p. 51.
- Entrée « complexe » du glossaire final, p. 454.
- p. 176.
- p. 670.
- pp. 182-183.
- « Cela n'a plus rien d'un jugement scientifique, mais relève uniquement d'une volonté personnelle de puissance » explique Jung à propos des opinions de Freud, p. 224.
- p. 373.
- pp. 230-231.
- p. 203.
- p. 315.
- p. 331.
- Entrée « alchimie » du glossaire final.
Autres ouvrages de C. G. Jung utilisés comme sources
- Le titre exacte est : Psychologie et pathologie des phénomènes dits occultes. Un cas de somnambulisme chez une fille d'origine pauvre (médium spirite) (1902). Thèse de doctorat en psychiatrie reproduite dans L'Énergétique psychique, Georg, Genève, 1973.
- Les deux études sont réunies dans l'ouvrage Recherches expérimentales sur les associations chez les sujets sains (Experimentelle Untersuchungen über die Assoziationen Gesunder).
- Correspondance de Jung à Freud, lettre de Freud du 31 décembre 1909.
- Jung à Freud, « lettre du 11 décembre 1911 », in Correspondances Freud/Jung, tome 1.
- Psychologie et alchimie, p. 123.
- Ce texte est ponctué de réflexions personnelles démontrant le choc que fut pour lui le séjour dans le sous-continent indien : « En Inde il semble ne rien y avoir qui n'ait déjà existé auparavant une centaine de milliers de fois », in Psychologie et orientalisme, p. 111.
- Propos de Jung en 1949, lors d'une interview reproduite in C. G. Jung parle. Rencontres et interviews, Buchet Chastel, Paris, 1985, p. 153.
- Après la catastrophe, in Aspects du drame contemporain, Genève, 1948.
- Lettre de Jung à Hélène Kiener, 15 juin 1955.
- Bien qu'intéressé par la métaphysique, Jung n'évoque ces concepts que comme des hypothèses de travail ; il affirme par exemple : « En fait le concept d'inconscient n'est qu'une simple et commode hypothèse de travail, in psychologie et religion, Buchet-Chastel, 1958, p. 81. »
- Types psychologiques, Geors & Cie, 1950, p. 234.
- Carl Gustav Jung, in préface de La Psychologie de C. G. Jung de Jolande Jacobi, Neuchâtel, 1950, p. 3.
- Jung co-écrira ainsi l'ouvrage The Interpretation of Nature and the Psyche en 1952, aux côtés des physiciens Wolfgang Pauli, Markus Fierz et Pascual Jordan.
- « Il nous apparaît aujourd'hui avec évidence que ce serait une impardonnable erreur de ne voir dans le courant de pensée alchimique que des opérations de cornues et de fourneaux. Certes, l'alchimie a aussi ce côté, et c'est dans cet aspect qu'elle constitua les débuts tâtonnants de la chimie exacte. Mais l'alchimie a aussi un côté vie de l'esprit qu'il faut se garder de sous-estimer, un côté psychologique dont on est loin d'avoir tiré tout ce que l'on peut tirer : il existait une « philosophie alchimique », précurseur titubant de la psychologie la plus moderne. Le secret de cette philosophie alchimique, et sa clé ignorée pendant des siècles, c'est précisément le fait, l'existence de la fonction transcendante, de la métamorphose de la personnalité, grâce au mélange et à la synthèse de ses facteurs nobles et de ses constituants grossiers, de l'alliage des fonctions différenciées et de celles qui ne le sont pas, en bref, des épousailles, dans l'être, de son conscient et de son inconscient », in Psychologie et alchimie, p. 291.
- Études expérimentales sur les associations (1906), in Collected Works, t. II.
- Carl Gustav Jung, Psychologie et éducation (1916-1942), Buchet-Chastel, 1963.
Autres sources
- p. 681. Il existe en effet 5 tomes de correspondances, édités par Aniéla Jaffé et Gerhard Adler et intitulés Correspondance.
- p. 675-763. Ellenberger en fait également un portrait physique et moral précis, p. 697-701.
- p. 675. Selon Henri F. Ellenberger la nationalité de Jung a été pour beaucoup dans sa reconnaissance internationale ; de plus, « la neutralité de la Suisse lui évita les vicissitudes qui marquèrent les vies de Freud et d'Adler », opcit.
- Jung obtient le titre de privat-Dozent à l'université, p. 686. Ce titre désigne dans les pays germaniques des enseignants qui ont écrit une habilitation, mais qui n'ont pas (encore) reçu une chaire d'enseignement ou de recherche.
- p. 686.
- p. 676. Ellenberg explique que « la vie de Carl Gustav Jung offre un exemple typique d'ascension sociale. (…) Vers la fin de sa vie il était devenu une figure presque légendaire ».
- p. 687.
- p. 712.
- p. 688 : « ces événements marquèrent le début d'une période intermédiaire de six années (fin 1913 à 1919) qui resta longtemps la plus obscure de la vie de Jung et dont la pleine signification a été révélée par son autobiographie ».
- p. 690, Ellenberger explique que Jung « composa deux ouvrages : le Livre noir et le Livre rouge qui sont restés inédits ».
- p. 693. Jung refusa toujours de rendre publique ses carnets de notes datant de cette période, ne voulant pas empiéter sur le terrain des ethnologues selon ses termes.
- p. 695, Henri Ellenberger atteste que Jung était présent lors de la rencontre entre Hitler et Mussolini le 28 septembre 1937, à Berlin, lors de la parade et que : « À mesure que la situation internationale se dégradait, Jung, qui ne s'était jamais beaucoup préoccupé de la politique mondiale, s'y intéressa de plus en plus. Des interviews qu'il accorda à divers magazines montrent qu'il cherchait à analyser la psychologie des chefs d'État, et en particulier celle des dictateurs. »
- p. 241 et p. 761. Ellenberger rapproche cette expérience de Jung de celles de Gustav Fechner et de Friedrich Nietzsche. Il explique que, dans une certaine mesure, Sigmund Freud a lui aussi vécu une telle « maladie créatrice ».
- p. 695. Ellenberger explique que la campagne d'attaques contre Jung « fut lancée depuis les milieux socialistes suisses, par Theodor Schwarz et Alex Von Muralt ; puis elle s'étendit à certains périodiques juifs ».
- p. 695.
- p. 700.
- p. 706.
- p. 180.
- (fr) Charles Baudouin, L'Œuvre de Carl Jung et la psychologie complexe, Petite bibliothèque Payot, coll. « numéro 133 », Paris, 2002 .
Introduction « Jung,
homme concret »,
pp. 7-51
- Charles Baudouin parle du goût de Jung pour l'archaïque et qui influença son œuvre, p. 10.
- p. 13.
- p. 12.
- Jung reconnaîtra toujours l'importance des travaux de Bleuler dans la formation de sa pensée, notamment dans l'approche psychologique des maladies mentales, en particulier dans la schizophrénie, et dans la notion d'« ambivalence » (introduite en 1910) qui « attirait ainsi l'attention de Jung sur une fondamentale bipolarité de l'esprit », p. 63.
- p. 14.
- p. 15.
- p. 14 : « c'est à la méthode des associations qu'il consacre ses conférences données devant le public américain », à Worcester, en 1908, dans le Massachusetts.
- p. 14.
- pp. 15-16. C'est dans la seconde partie de l'ouvrage que la divergence s'accuse ; Freud indique ainsi à Ernest Jones que c'est à la page 174 de l'édition d'origine (page 241 de l'édition française de 1953) que, selon lui, Jung s'est égaré. Il s'agit de la conception élargie de la libido de Jung.
- pp. 16-17.
- p. 18.
- p. 37.
- La Suisse a accordé à Jung deux autres distinctions : la Schweirzerische Akademie der Medizinischen Wissenschaften en qualité de membre d'honneur en 1943 et le doctorat honoris causa de l'université de Genève.
- p. 34.
- p. 22 : Jung reçoit trois titres honorifiques en Inde, alors qu'il est invité par le comité d'organisation des têtes de l'université de Calcutta : celui de Docteur en Littérature à l'université hindoue de Bénarès et à l'université mahométane d'Allababad et celui de Docteur en Sciences de l'université de Calcutta.
- p. 32.
- p. 17.
- p. 12.
- p. 22.
- p. 27.
- p. 44.
- p. 63.
- p. 152 : Jung était réputé égocentrique et agressif ; de plus il était vu comme désirant la place de Bleuler.
- p. 151.
- p. 145.
- pp. 156-157 : Bleuler était déjà en contact épistolier avec Freud, qu'il admirait beaucoup, dès 1890 ou 1904 explique Deirdre Bair. Quand Jung écrivit à Freud pour le rencontrer, il « vola la vedette » à Bleuler en somme, d'où leur brouille.
- p. 180.
- p. 181.
- p. 290.
- p. 305.
- p. 317.
- p. 344.
- pp. 359 et 373 notamment.
- p. 365.
- p. 178.
- Voir la lettre de Jung p. 539.
- p. 552.
- p. 577.
- p. 597.
- pp. 451-459.
- p. 639.
- p. 641.
- p. 649.
- p. 657.
- Jung cité p. 658.
- p. 652.
- p. 692.
- Propos du journal de Jung rapportés par Deirdre Bair, chapitre « En collusion avec l'histoire ». Lire aussi la lettre du 22 janvier 1934 de Jung au psychothérapeute suédois Bjerre dans laquelle il explique que « l'essentiel [est] de sauver la psychothérapie actuellement très menacée en Allemagne et de lui permettre de franchir cette période très difficile ». Son but, en adhérant à l'Institut Göring était ainsi de permettre aux Allemands de garder « quelques liens avec le monde extérieur en dépit de leur isolement moral actuel », p. 185.
- Chapitres « En collusion avec l'histoire » et « Agent 488 », en particulier p. 745.
- p. 730.
- Propos rapporté p. 713.
- p. 745.
- p. 747.
- p. 171.
- Chapitre « Dernières années ».
- p. 570.
- p. 12 : d'abord introduit par Freud, le terme d'« âme » désigne chez Jung l'ensemble des constituants psychiques formant la réalité psychique.
- p. 17.
- p. 62.
- pp. 15-16.
- p.82.
- p. 52.
- p. 87 : « survenue fortuite et concomitante de deux événements sans lien de cause à effet ».
- p. 96.
- p. 98.
- (fr) Luigi Aurigemma, L'Éveil de la conscience, L'Herne, coll. « Carnets », Paris, 2009
- p. 185.
- pp. 187-119.
- p. 185 : « Au cours des mois passés, diverses actions, liées les unes aux autres et bien intentionnées, pourtant, avaient fait de l'échange obstiné et orgueilleux entre Freud et Jung quelque chose de tangible au point d'en être devenu incontournable. Chaque acte avait rendu le désaccord plus réel et lui avait donné plus de profondeur. »
- p. 8 : « Ils étaient des révolutionnaires engagés sur une voie audacieuse et imaginative et leur personnalité était à la hauteur de la tâche ».
- Ce geste, devenu célèbre au sein de l'histoire de la psychanalyse, se déroule en mai 1912. Il s'agit d'un quiproquo entre les deux hommes qui devaient se rencontrer de nouveau à Kreuzlingen. Freud devait y rendre visite à un collègue mourant dans les environs de Zurich mais il dit n'avoir jamais reçu la lettre de Jung qui a du décommander au dernier moment, p. 191.
- p. 89. Linda Donn cite Freud qui, dans une de ses lettres, exprime son regret : « Jung fut une grande perte ».
- (fr) Sigmund Freud, Cinq leçons sur la psychanalyse, Payot, coll. « Petite bibliothèque Payot », 1966 .
Traduit de l'allemand par Serge Jankélévitch,
pp. 69-149
- « Le mot « complexe », terme commode, souvent indispensable pour la description d'ensemble de situations psychologiques, s'est acquis droit de cité dans la psychanalyse » p. 99.
- « Dans le travail sur les phénomènes occultes, paru en 1902, on trouve une première référence à l'interprétation des rêves » p. 97.
- p. 24 : « J'ai souvent proclamé avec reconnaissance les grands mérites que s'est acquis l'école psychiatrique de Zurich, et plus particulièrement Bleuler et Jung, par leur contribution à la diffusion de la psychanalyse ».
- p. 96.
- pp. 101-102.
- p. 109 : « Je me rappelle l'impression profonde que ressentirent les membres d'un congrès psychanalytique en entendant un élève de Jung faire ressortir les analogies qui existent entre les formations imaginaires des schizophrènes et les cosmogonies des peuples et des époques primitifs. Les matériaux fournis par la mythologie ont trouvé plus tard une élaboration intéressante, bien que plus contestable, dans les travaux de Jung. »
- pp. 143-144.
- « la psychanalyse de Jung ressemble au fameux couteau de Lichtenberg : après avoir changé le manche et, remplacé la lame, il veut nous faire croire qu'il possède le même instrument, parce qu'il porte la même marque que l'ancien », p. 55.
Autres sources utilisées
- « Il est peu d'auteurs, dans l'histoire du mouvement psychanalytique, qui aient suscité des controverses aussi passionnées que Jung. Il en est peu qui aient fait l'objet de jugements aussi outranciers, que ce soit dans l'éloge ou le blâme. », chapitre « La dissidence jungienne » de Christian Delacampagne, in Histoire de la psychanalyse (sous la direction de Roland Jaccard, Hachette, 1982, p. 215 .
- Voir à ce sujet le compte rendu de Christian Gaillard, psychanalyste, ancien président de la SFPA sur le site cgjungfrance.com : « Deirdre Bair s'appuie sur un nombre impressionnant de documents qu'elle cite très précisément dans les notes ».
- Guide du Franc-Maçon. Ed. Groupe de Recherche Alpina, 1998
- Retrouvées dans les années 1970 ces conférences ont été publiées en 1983 par William Mc Guire à Princeton, avec une introduction de Marie-Louise Von Franz. Lire l'article de Marie-Laure Grivet-Shillito, « Quand Carl Gustav n'était pas encore Jung », in Cahiers jungiens de psychanalyse, no 86, 1996, pp. 7-20.
- « La thèse de Jung était en réalité une autobiographie masquée qui contenait une généalogie familiale » rapportent Élisabeth Roudinesco et Michel Plon dans leur Dictionnaire de la psychanalyse, entrée « Hélène Preiswerk », Fayard, 1997 , p. 830.
- Henri F. Ellenberger étudia ce cas dans son article « Carl Gustav Jung et Hélène Preiswerk. Étude critique avec documents nouveaux », in Médecine de l'âme. Essai d'histoire de la folie et des guérisons psychiques, Fayard, Paris, 1995.
- (en) Discours de Jung à l'université Clark en 1909 intitulé The Association Method, in American Journal of Psychology, no 31, pp. 219-69, consultable en ligne. Consulté le 13 novembre 2009.
- Pour plus d'informations lire « Recherches expérimentales » sur le site cgjungfrance.com. Consulté le 13 novembre 2009.
- (de) Diagnostische Assoziationsstudien, ouvrage numérisé et en ligne. Consulté le 14 novembre 2009.
- Yerushalmi, Le Moïse de Freud, Gallimard, 1993 , p. p. 96 .
- Jung lui consacre un Compte rendu de l'ouvrage de Sadger, Konrad Ferdinand Meyer : une étude psychologique et psychographique datant de 1909.
- Docteur Edouard Collot, « Influence de l'hypnosuggestion dans les pratiques de Freud et Jung », in 6e Congrès de l'Association Européenne pour l'histoire de la Psychiatrie, organisé par le Groupement d'Études sur l'Histoire de la Psychiatrie, 2005.
- Voir notamment les réponses de Jung lors de l'entretien pour le journal New York Times à Genève avec le journaliste M. L. Hoffman, le 24 juillet 1953. Consulté le 12 novembre 2009.
- [image] Source : freud-museum.at. Consulté le 12 novembre 2009
- Ernest Jones, in La Vie et l'œuvre de Sigmund Freud, Paris, PUF, 1961, tome II, p. 151.
- Voir à ce propos : Psychologie clinique, par Bernard Robinson, chapitre 5 « Les psychothérapies », paragraphe « La dissidence de Jung », p. 296. Consulté le 14 novembre 2009.
- « Pourquoi la mythologie ? » par Monique Salzmann, chapitre « Les débuts », p. 81 démontre à quel point Freud comptait sur Jung pour développer la psychanalyse. Consulté le 14 novembre 2009.
- « Otto Gross » sur l'encyclopédie sur la mort. Consulté le 14 novembre 2009.
- La préface de Jacques Le Rider est extrêmement documentée, notamment sur les interactions de Gross (et Sabina Spielrein) avec Carl Gustav Jung, Freud et le mouvement psychanalytique Otto Gross : Révolution sur le divan, Éd.: Solin, 1988. ISBN 2853760634
- Sigmund Freud : Correspondance: 1906-1914 Ed.: Gallimard, Coll.: Connaissance de l'inconscient, ISBN 2070721590
- Cité par Jacques le Rider dans sa préface de Otto Gross? Révolution sur le divan, ed. Solin, 1988. ISBN 2853760634
- Sigmund Freud, Correspondance : 1906-1914, Ed. Gallimard, Coll. Connaissance de l'inconscient, ISBN 2070721590
- (en) Lire « The Sigmund Freud and Carl Jung lectures at Clark University » (archives) sur le site de l'Université Clark.
- Sigmund Freud, Lettre à Jung du 16 avril 1909, in Correspondance S. Freud/C. G. Jung, Madrid, éd. Taurus, 1978.
- ↑ , , et Lire l'introduction du Christ Aryen en ligne de Richard Noll. Consulté le 9 novembre 2009.
- (en) [pdf] « Chapter VI. The Discovery of Mythology (1909-1911) », article de Patrick Vandermeersch. Consulté le 14 novembre 2009.
- Dominique Bourdin et Sabina Lambertucci-Mann, La Psychanalyse de Freud à aujourd'hui histoire, concepts, pratiques, Bréal, Coll. Théories, , p. 62.
- Fiche de l'ouvrage sur le site cgjung.net. Consulté le 14 novembre 2009.
- Karl Abraham, « Critique de l'essai d'une présentation de la théorie psychanalytique de C. G. Jung » in Psychanalyse et culture, Payot, Petite Bibliothèque Payot, Coll. Sciences de l'homme, 1966, pp. 207-224, consultable sur le site megapsy.com. Consulté le 18 novembre 2009.
- (en) Sigmund Freud, Lettre à Jung du 27 octobre 1913, conservée à la Library of Congress et disponible en ligne. Consulté le 12 novembre 2009.
- En 1933, dans une lettre à Christian Jensen il renie en effet toute filiation : « Je voudrai profiter de l'occasion pour rectifier l'erreur selon laquelle je serai issu de l'école de Freud. Je suis un élève de Bleuler et je m'étais déjà fait un nom dans la science par mes études de psychologie expérimentale lorsque j'ai pris le parti de Freud et au fond ouvert à la discussion, c'était en 1905. Ma conscience scientifique n'a pas permis ni de laisser disparaître ce qui est bon chez Freud, ni de laisser subsister l'absurde dénaturation que cette théorie a fait subit à l'âme humaine. J'ai tout de suite pressenti que cette théorie de la sexualité en partie diabolique ferait tourner la tête aux gens, et finalement j'ai sacrifié ma carrière scientifique pour combattre de toutes mes forces cet avilissement absolu de l'âme (...) », cité in Alain De Mijolla, Le temps qui passe, Le Carnet/PSY, no 144, mai 2010.
- Hester Mcfarland Solomon dans l'article « Freud et Jung : une rencontre inachevée », in Topique, 2002, no 79, pp. 139-151, dit : « Après leur rupture tragique Freud et Jung s'étaient chacun focalisés sur deux aspects différents de la psyché, cependant liés et complémentaires. Freud s'intéressait au passé personnel du patient (Jung parle de la méthode réductive de la psychanalyse), pour étudier et élaborer des contenus de l'inconscient, structurés par les événements psychosexuels, tel qu'ils se révèlent dans le présent de la cure – conception renforcée par les concepts du retour du refoulé et de la compulsion de répétition. Donc, comme l'avait décrit Jung, le traitement sera basé sur la méthode réductive. De l'autre côté, avec son intérêt sur les images et les symboles de l'inconscient collectif, Jung s'était concentré sur le niveau le plus primitif chez l'être humain, ce qui cependant constitue son avenir, son devenir. ».
- (de) Gilles Quispel, Gnosis studies : Hesse, Jung und die Gnosis. Die 'Septem sermones ad mortuos' und Basilides, t. 2, 1968, p. 241-258 .
- The Red Book of Jung sur le site cgjung.net, publié en anglais aux éditions WW. Norton & Co. Consulté le 8 novembre 2009.
- Définition de l'« imagination active » sur le site groupe-jung.fr.
- Pour un exemple des dessins réalisés par Jung dans ce livre, voir (en) « The Holy Grail of the Unconscious » par Sara Corbett, New York Times du 16 septembre 2009 et le dossier édité par la Fondation Philémon : [pdf].
- Le Club psychologique de Zurich sur cgjung.net.
- Dalibor Frioux, Sigmund Freud, L'Avenir d'une illusion, vol. 23, La Philothèque, éditions Bréal, 2005, , chapitre « Jung. Une psychanalyse ouverte à l'intuition religieuse », p. 56.
- Bertrand Lévy, Hermann Hesse, José Corti, 1992, , p. 189.
- (en) Timothy C. Thomason, Lessons of Jung's Encounter with Native Americans, 2008 sur le site cgjungpage.org.
- « La société [de psychanalyse allemande] s'attend à ce que chacun de ses membres travaille dans l'optique du livre d'Adolphe Hitler, Mein Kampf, et avec tous les efforts scientifiques possibles, sur cette base théorique », éditorial paru dans l'édition internationale et pas seulement dans l'édition allemande de décembre 1933.
- (en) Biographie d'Olga Fröbe-Kapteynn sur le site Eranos Foundation. Consulté le 9 novembre 2009.
- Liste des conférenciers des journées d'Eranos, de 1933 à 1988 sur le site Eranos Foundation. Consulté le 9 novembre 2009
- Véronique Liard, Carl Gustav Jung, Kulturphilosoph, Presses Paris Sorbonne, 2007, , p. 95. Consulté le 14 novembre 2009.
- (en) Psychotherapy in the Third Reich (La psychothérapie sous le Troisième Reich), de Geoffrey Cocks, Transaction Publishers, 1997, , p. 13. Consulté le 14 novembre 2009.
- Marthe Robert précise que « La tâche spéciale de Jung au sein de cet organisme était d'établir une ligne « scientifique » de partage entre la psychologie aryenne et la psychologie juive, autrement dit entre la doctrine de l'« inconscient collectif » et la psychanalyse de Freud, contre laquelle la revanche était maintenant facile », in La Révolution psychanalytique, tome 2, PBP, 1964, p. 249.
- (en) Voir l'article « The Volk and Its Unconscious : Jung, Hauer and the German Revolution » de Petteri Pietikanen, Journal of Contemporary History, 2000, vol. 35, no 9, pp. 523-539.
- (en) Expression reprise in Mark Medweth, « Jung and the Nazis », dans Psybernetika, Winter 1996. Voir notamment l'article « Jung and the Nazis » en ligne. Consulté le 12 novembre 2009.
- Lettre de Cimbal à Göring du 26 août 1933.
- ↑ et Lettre circulaire datée du 1e décembre 1934 et jointe au Zentralblatt für Psychothérapie und ihre Grenzgebiete, VII/6, 1934, in Cahiers jungiens de psychanalyse, no 82, 1995 : « Jung et l'histoire, les années 30 ».
- (de) Gustav Bally, « Deutschstämmige Psychotherapie » (« psychologie et psychothérapie de souche allemande »), in Neue Zürcher Zeitung, 27 février 1934, no 343, 27.
- « Intervention devant le Groupe suisse de la Société médicale générale et internationale de psychothérapie », in Cahiers jungiens de psychanalyse, no 82, 1995 : « Jung et l'histoire, les années 30 ».
- (en) Diana Baynes Jansen, Jung's Apprentice : A Biography of Helton Godwin Baynes, Einsiedeln, Switzerland, Daimon Verlag, 2003, , extrait disponible en ligne. Consulté le 15 novembre 2009.
- , p. 328.
- Les deux hommes entretiennent une amitié durable et une vaste correspondance. Lire (en) Atom and Archetype : The Pauli/Jung Letters, 1932-1958 édité par C. A. Meier, Princeton University Press, 2001, , résumé en ligne. Consulté le 13 novembre 2009.
- « L'ouvrage apporte à la question de l'existence des soucoupes volantes un point de vue, pour la première fois, psychologique » conclut, concernant l'ouvrage de Jung, la note technique no 3 du Groupe d'Études des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés (GEPAN) de 1981, en ligne. Consulté le 13 novembre 2009.
- Chapitre « La dissidence jungienne » de Christian Delacampagne, in Histoire de la psychanalyse (sous la direction de Roland Jaccard), Hachette, 1982, p. 218, .
- « Les derniers instants de Jung » sur le site cgjung.net. Consulté le 9 novembre 2009.
- Propos dans le journal Libération, consultable en ligne. Consulté le 12 novembre 2009.
- Élisabeth Roudinesco, « Carl Gustav Jung. De l'archétype au nazisme. dérives d'une psychologie de la différence », L'Infini, no 63, automne 1998.
- Ernest Jones, La Vie et l'œuvre de Sigmund Freud, vol. 3, pp. 212-14.
- Une analyse documentée de cette période est présentée sur le site La Fontaine de Pierre, faisant suite à l'article publié dans l'encyclopédie Universalis sur Jung, sous le titre « Rectification ».
- Karl Abraham, « Critique de l'essai d'une présentation de la théorie psychanalytique de C. G. Jung » in Psychanalyse et culture, Payot, Petite Bibliothèque Payot, Coll. Sciences de l'homme, 1966, pp. 207-224.
- Yvon Brès, L'Inconscient, Ellipses, coll. « Philo », Paris, 2002, , p. 123.
- Dominique Bourdin, La Psychanalyse, de Freud à aujourd'hui, éditions Bréal, 2007, , p. 68.
- , p. 107 explique que la formule « psychologie complexe » s'emploie plus volontiers actuellement, celle de « psychologie analytique » prêtant à la confusion avec l'approche du psychologue George Frederick Stout (1860 – 1944) qui est le premier à l'employer.
- [image] Source : Pioton-Cimetti et E. Graciela, Aspects psychosociaux de C. Gustav Jung, Paris, 1995, illustration no 10, p. 255.
- Lire Christian Delacampagne, chapitre « La dissidence jungienne », in Histoire de la psychanalyse (sous la direction de Roland Jaccard), Hachette, 1982, , p. 224.
- , p. 12. Elle ajoute : « Comme Jung ne cesse de le dire : la rencontre de la psyché est une expérience, elle passe à la fois par le mental et par le cœur, par l'intellect et par l'émotionnel. Cela demande une lecture circulaire, à l'image de la spirale : la compréhension intellectuelle s'enrichit de la résonance émotionnelle, confrontation intérieure qui, à son tour, mène à l'approfondissement de la compréhension. »
- Volume 16 « La pratique de la psychothérapie » sur le site cgjungfrance.com. Consulté le 12 novembre 2009.
- « Jung pensait que l'activité spontanée de la psyché nous permettait dans une certaine mesure, de dépasser le paradoxe de la pensée réflexive. (…) La psyché est l'« organe » par lequel nous sommes assurés d'un certain accès en conscience à l'univers », in , p. 30-31.
- Steve Melanson, Jung et la mystique, Sully, Vannes Cedex (France), 2009, 183 p. (ISBN 978-2-35432-038-6)
- , p. 79.
- , p. 15.
- (en) Roderick Main, Jung on synchronicity and the paranormal, Routledge, 1997, , p. 1, en ligne. Consulté le 12 novembre 2009.
- , p. 12.
- Entrée « Libido », in Dictionnaire de la psychanalyse, Élisabeth Roudinesco et Michel Plon, Fayard.
- Hester Mcfarland Solomon dans « Freud et Jung : une rencontre inachevée », in Topique, 2002, no 79, pp. 139-151 : « Grâce à ses brillantes capacités scientifiques et aux recherches faites avec ses collègues à l'hôpital du Burghölzli, Jung a pu démontrer les premières preuves de la valeur scientifique des concepts à la base de la psychanalyse. Il a montré par ses expériences faites avec le test des associations : premièrement, l'existence même de l'inconscient ; deuxièmement, le mécanisme de refoulement qui domine la dynamique entre le conscient et l'inconscient ainsi que les relations entre le ça, le moi et le surmoi ; et troisièmement, la notion de complexe selon laquelle les expériences internes se regroupent dans la mémoire inconsciente autour des grands thèmes universaux ».
- Denis de Rougemont, chapitre « Le suisse moyen et quelques autres », in Revue de Paris, LXXII, 1965, pp. 52-64.
- Le sociologue américain Philipp Rieff dit ainsi : « Alors que pour Jung l'inconscient est tout ce que le conscient peut devenir, pour Freud il est, plus simplement, tout ce que le conscient n'est pas », traduction libre depuis : (en) Geoffrey Cocks, Psychotherapy in the Third Reich : the Göring Institute, Transaction Publishers, 1997, , p. 12.
- Il existe ainsi en France une Association française des types psychologiques sur le site aftp.asso.fr. Consulté le 9 novembre 2009.
- Gaston Bachelard La Psychanalyse du feu (1938)
- Betty Jo Teeter Dobbs The Foundations of Newton's Alchemy or, "The Hunting of the Greene Lyon. ", Cambridge University Press, 1975
- Robert Halleux Les textes alchimiques, Brepols, 1979 - Barbara Obrist, Les débuts de l’imagerie alchimique (XIV-XVe siècles), Le Sycomore, 1982 pp. 13-20 - William R. Newmann « Decknamen or pseudochemical language ? : Eirenaeus Philalethes and Carl Jung » ? in Revue d'histoire des sciences. 1996, Tome 49 n°2-3 pp. 159-188. - Lawrence Principe et William Newman, « Some Problems with the Historiography of Alchemy » in Secrets of Nature : Astrology and Alchemy in Early Modern Europe edited by William R. Newman and Anthony Grafton, MIT Press, 2001, pp.385-432 (sur Jung pp. 401-415) - une critique des thèses de Lawrence et Principe a été faite par Hereward Tilton The quest for the phoenix : spiritual alchemy and Rosicrucianism in the work of Count Michael Maier (1569-1622) , Walter de Gruyter, 2003
- [image] Gravure alchimique extraite du traité Aurora consurgens, environ 1500.
- Élisabeth Roudinesco et Michel Plon, Dictionnaire de la psychanalyse, entrée « Psychothérapie », Fayard, 1997, , p. 869.
- Extrait du livre de Bill W., Le Langage du Cœur cité depuis : l'étude du Dr Jean-Michel Crabbé en ligne. Consulté le 12 novembre 2009.
- Propos de Luc Mazenc qui a soutenu une thèse de sociologie à l’université Pierre Mendès-France de Grenoble II en 2001 : Les nouveaux mouvements religieux (NMR) et les nouveaux mouvements sociaux (NMS) dans le procès de mondialisation. Pour une phénoménologie sociologique des mutations de la modernité. Propos reproduits dans sa lettre du 2 janvier 2005 au Courrier des Lecteurs du Nouvel Observateur suite à la publication du dossier : « Psy ou Médicaments, comment choisir ? » du no 93.
- (en) Jung and the New Age : A Study in Contrasts, The Round Table Press Review, Philadelphia, Pennsylvania, vol. , numéro d'avril 1998, pp. 1-11.
- (en) Paul Heelas, The New Age Movement : The Celebration of the Self and the Sacralization of Modernity, Oxford, Blackwell, 1996, p. 46.
- David Lucas, « Carl Gustav Jung et la révolution copernicienne de la pédagogie », in revue Le Portique, no 18, 2006.
- Voir la biographie et travaux de Patrick Estrade
- Voir à ce sujet l'ouvrage de Miguel Serrano, C. G. Jung et Hermann Hesse, Londres, Routledge et Kegan Paul, 1966. Hermann Hesse s'explique ainsi, dans une lettre à Hans Reinhart (mai 1921) : « Jung est par son intelligence comme par son caractère un homme magnifique, plein de vie et génial. Je lui dois beaucoup (...). ».
- Voir l'Interview de V. Evangeli. Consulté le 12 novembre 2009.
- John Boorman influencé par Jung. Consulté le 12 novembre 2009.
- D'après Le Journal du management le test du MBTI est réalisé chaque jour par environ 20 000 personnes dont 10 000 aux États-Unis, ce qui en fait l'indicateur le plus utilisé au monde (particulièrement dans les domaines de la finance, de la banque et de l'ingénierie. Le consultant Gilles Azzopardi explique que « c'est sans doute le test qui donne le plus d'informations sur la personnalité du candidat », in Le Journal du net. Consulté le 12 novembre 2009.
- Pierre Debroux, Jacqueline Richelle, Lisa De Noose, Marc Malempré, Manuel du Test de Rorschach : Approche psychanalytique et psychodynamique, De Boeck Université, Série LMD, 2009, , p. 14.
- Influence de Jung sur la pensée de Gaston Bachelard sur le site philonet. Consulté le 12 novembre 2009.
- « (...) il [Gilbert Durand] s’engage activement aux côtés de courants de réflexions spirituelles comme scientifiques à contre-courant des modes intellectuelles d’une part en animant les sessions de l’université libre Saint-Jean de Jérusalem (fondée par Henry Corbin) et des Eranos Tagungen à Ascona (Suisse), marquées par l’empreinte de la pensée de C. G. Jung (...) », in « Gilbert Durand », Encyclopédie philosophique universelle, III : les œuvres philosophiques, tome 2 (sous la dir. de Jean-François Mattéi), Paris, PUF, 1992.
- Gilbert Durand, Beaux-arts et archétypes : la religion de l'art, PUF, 1989, , p. 7.
- Sa prise de position dans un article intitulé « Le Dr. Jung dit que les « disques volants » suggèrent des pilotes quasi-humains » publié dans le journal le New York Herald Tribune, le 30 juillet 1958 montre qu'il envisage également l'existence physique du phénomène. Néanmoins, la polémique existe (voir notamment les protestations de Jung quant aux déformations de ses paroles par la presse, en ligne. Consulté le 12 novembre 2009.
- (de) [pdf] Voir le document « C. G. Jung Manuskripte - Katalog » édité par l'ETH et recensant les travaux non encore publiés.
- « Lire Jung aujourd’hui. Entretien avec Michel Cazenave » sur le site jung.asso.fr [pdf].
- Juliette Vieljeux, Christian Gaillard, Axel Capriles, Michel Cazenave et Beverley Zabriskie, Jung, catalogue chronologique des écrits, Cahiers jungiens de psychanalyse, coll. Confrontations, , site des Cahiers jungiens de psychanalyse.
Ouvrages cités mais non utilisés
- (en) Pour plus de détail sur cette période polémique lire Lingering shadows : Jungians, Freudians, and anti-semitism, édition Aryeh Maidenbaum et Stephen A. Martin, Boston, Massachusetts et Londres, 1991.
- (en) Helton Godwin Baynes, Germany Possessed, J. Cap, 1941, .
- (en) Ernest Harms, Carl Gustav Jung - Defender of Freud and the Jews, Psychiatric Quaterly, Urica, New York, avril 1946.
- (en) Philip Wylie, An essay on morals : a science of philosophy and a philosophy of the sciences, Pocket Books, 1961.
- Hans Trüb a exprimé ce détachement dans son ouvrage Du Soi au Monde, paru en 1947, puis dans La Guérison par la rencontre.
- Jean-Luc Maxence, préface de Bruno Étienne, Jung et l'avenir de la Franc-maçonnerie, Dervy, 2004, .
- Gérard Badou, Histoire secrète de la psychanalyse, Albin Michel, 1998.
- (en) Andrew Samuels, Jung and the PostJungians, London, Routledge and Kegan Paul, 1985, .
- (en) Robert Withers, Controversies in Analytical Psychology, Psychology Press, 2003, .
- Lire Monique Genty, Archétypes jungiens et écritures déconcertantes, Elsevier Masson, 1995, .
- Hal Stone et Sidra Stone, Le Dialogue intérieur, Souffle d'Or, Chrysalide, 1997, .
- (en) Voir la thèse de Finlay Steven W., Influence of Carl Jung and William James on the origin of alcoholics anonymous, Review of general psychology, 2000, vol. 4, no 1, pp. 3-12, .
- Lire Dora M. Kaleff, Le Jeu de sable : méthode de psychothérapie, EPI, Coll. Hommes et groupes, Paris, 1973.
- Lire (en) Clifford Mayes, Jung and education ; elements of an archetypal pedagogy, , Rowman & Littlefield, 2005 et Inside Education : Depth Psychology in Teaching and Learning.
- Jean-Daniel Rohart, La Vie et l’éducation, suivi de : Comment réenchanter l’école ? , L’Harmattan, 2005. Présentation en ligne. Consulté le 12 novembre 2009.
- (en) Voir le chapitre sur Pollock in Marilyn Stockstad, Art History, Pearson Education, Inc. , 2005, New Jersey, .
- Northrop Frye, Anatomie de la critique, chapitres « Critique des archétypes » et « Théorie des mythes ».
- Georges Poulet, Les Métamorphoses du cercle, Paris, Flammarion, 1979.
- (de) Eugen Böhler, Der Mythus in der Wirtschaft in Industrielle Organisation, XXXI, 1962, pp. 129-136.
Notes et précisions
- Ce test est à distinguer de celui des associations libres inventé par Sigmund Freud. Le test de Jung et de Riklin repose sur le fait que l'expérimentateur invite le sujet à réagir à chaque mot inducteur aussi rapidement que possible en prononçant seulement le premier mot qui lui vient à l'esprit. Le temps et le type de réaction varient ainsi selon le mot induit et trahissent l'existence de complexes inconscients.
- Emma Jung est l'auteur d'une monumentale étude du symbolisme du Graal écrite avec Marie-Louise Von Franz et publiée en France 1988.
- Dans le dernier chapitre de la Potière jalouse l'anthropologue Claude Lévi-Strauss se livre à un parallèle humoristique des personnalités et des théories de Freud et Jung.
- Le terme de « schizophrénie », qui remplace celui de « démence précoce », a été créé par Eugène Bleuler ; l'expression latine de demencia praecox, qui avait été introduite auparavant par Emil Kraepelin, était alors l'expression consacrée
- La correspondance entre Freud et Jung débute exactement le 11 mars 1906 par une lettre de Freud qui remercie Jung de son envoi d'un livre sur ses travaux à la clinique du Burghölzli. Freud lui envoie en retour un recueil de petits écrits sur la théorie des névroses, qu'il vient juste de publier à Vienne.
- Voir sur ce sujet le film de 2004 L'âme en jeu (The Soul Keeper) du réalisateur italien Roberto Faenza qui retrace l'histoire adultérine entre Jung et Spielrein.
- Ce patronyme peut être orthographié également « Honegger ».
- Les titres et sommaires des volumes des Collected Works sont disponibles sur le site de la Société française de psychologie analytique, consultable en ligne.