SupOptique Institut d'optique/Ecole supérieure d'optique |
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Fondation | 1917 (1er cours en 1920) |
Type | Grande école d'ingénieurs privée sous tutelle du ministère de l'Education nationale |
Budget | 9.2 M€ |
Localisation | Palaiseau — Orsay — Saint-Etienne, France |
Campus | Campus polytechnique de Palaiseau |
Fondateur | Armand de Gramont |
Président | Elisabeth Giacobino |
Directeur | Jean-Louis Martin |
Personnel | 200 |
Enseignants | 27 |
Étudiants | 241 (cycle ingénieur) |
Niveau | Bac+3 à Bac+8 (école doctorale) |
diplômés/an | 73 (promo 2005) |
Affiliation | Conférence des grandes écoles, Concours Centrale-Supélec, Institut Carnot, Optics Valley, Triangle de la physique, System@tic Paris-région, Paris Pôle Sud, Île de Science, Pôle optique Rhône-Alpes |
Particularités | Une grande école d'ingénieurs centrée sur l'application de l'optique dans les sciences et l'industrie |
Site web | Site officiel |
L'École supérieure d'optique (dont le nom d'usage est SupOptique) est une grande école d'ingénieurs. L'école est un établissement de statut privé reconnu d'utilité publique par la loi du 10 août 1920 et sous tutelle du ministère chargé de l'enseignement supérieur. Elle dispense un enseignement de haut niveau s'adressant à des élèves-ingénieurs ou étudiants possédant une culture scientifique étendue. Elle forme des ingénieurs physiciens orientés vers les divers aspects de l'optique fondamentale ou appliquée, la conception et la réalisation des appareils modernes, etc., favorise ainsi les progrès techniques et la recherche scientifique.
A la rentrée 2006, la dénomination officielle "École supérieure d'optique" devient "Institut d'optique Graduate School"[1].
L'idée de la création de SupOptique revient à Armand de Gramont, riche héritier, industriel, docteur ès sciences et ami de Marcel Proust. En 1915, il est affecté en tant que lieutenant au Service des fabrications de l'aviation puis au sein de sa Section technique de l'aéronautique, créée en 1916, où il travaille avec Henri Chrétien. Celui-ci a déjà commencé l'ecriture du premier traité de calcul des combinaisons optiques français avec le soutien de l'instrumentier Amédée Jobin, lui même détaché au Service géographique de l'armée. Chrétien et Gramont montent alors le projet de la création d'un établissement dédié à l'enseignement de l'optique. Gramont obtient le soutien de plusieurs personnalités industrielles, comme Jules Carpentier, Félix Pellin et Numa Parra, ainsi que celui politique et militaire du grand géographe Robert Bourgeois, alors chef du Service géographique de l'armée. Gramont est détaché en 1916 à la Commission supérieure d'examen des inventions intéressant la Défense nationale, rattachée à la Direction des inventions créée par Paul Painlevé, où il rencontre le physicien Charles Fabry. Celui-ci est alors, dans le civil, professeur titulaire de la chaire de physique industrielle de la Faculté des sciences de Marseille, et a été rendu célèbre par sa démonstration expérimentale de l'existence de la couche d'ozone. Après un déjeuner réunissant Gramont et quatre ministres du 5e gouvernement Aristide Briand, il est créé par arrêté une commission interministérielle présidée par Robert Bourgeois, vice-présidée par le prix Nobel Gabriel Lippmann et comprenant notamment, outre Armand de Gramont, Charles Fabry et Amédée Jobin, le physicien Jules Violle, le général Hippolyte Sebert et l'astronome Maurice Hamy, tous trois membres de l'Académie des sciences, le physicien Aimé Cotton, le chimiste Camille Matignon, professeur au Collège de France, Étienne Wallon, professeur de physique au lycée Janson de Sailly et photographe, Henri Chaumat, secrétaire général de la commission supérieure d'examen des inventions, Georges Despret, maître-verrier directeur de la Réunion des glaces et verres spéciaux du Nord de la France, Lucien Poincaré, directeur de l'enseignement supérieur, Henri Ténot, directeur de l'enseignement technique, Adrien Mithouard, président du Conseil de la ville de Paris, Amédé Couesnon, député. Elle se charge en six mois de mettre en place le projet, désigne comme administrateurs provisoires Armand de Gramont, Jules Violle et Amédée Jobin et établit la liste des membres du premier conseil d'administration dont la première réunion se tient à la fin de l'année 1917 sous la présidence de Robert Bourgeois.
Le recrutement des élèves-ingénieurs se fait très majoritairement (90 places) sur le concours Centrale-Supélec après les classes préparatoires aux grandes écoles (filière de classes préparatoires MP, PSI, PC, PT, TSI).
Une dizaine de places de 1re ou de 2e année sont attribuées suite à un concours sur titre et épreuves en trois étapes, ouvert aux titulaires d'un DUT en mesures physiques, d'un BTS en génie optique, d'un DEUG en sciences, d'une licence (accès 1re année) ou d'une maîtrise en physique (accès 2e année), ou de certains diplômes étrangers jugés équivalents (Ex: "Benke" chinois et certains "Bachelor of Science" pour une admission en 2A).
SupOptique étant une des 18 écoles d'application de l'École polytechnique, certains élèves polytechniciens (généralement 3) intègrent SupOptique en 3e année après des cours de mise à niveau. C'est aussi le cas de certains élèves de l'École normale supérieure de Cachan souhaitant obtenir un titre d'ingénieur diplomé.
Le recrutement pour la préparation du diplôme national de master se fait sur dossier parmi les licenciés en physique ou les titulaires d'un titre, diplôme ou grade étranger jugé équivalent (décret 85-906), notamment dans le cadre du programme Erasmus mundus. Des admissions directes en deuxième année sont également possibles.
Avant 1945, l'école recrutait majoritairement parmi les jeunes diplômés de l'École navale, l'École polytechnique, l'École nationale supérieure d'arts et métiers et l'École centrale des arts et manufactures. La formation était alors d'une année et correspondait donc à un diplôme de spécialisation.
La formation des ingénieurs dure 3 ans. Elle peut s'effectuer par la voie classique, sous le statut d'étudiant, ou par la voie de l'apprentissage à partir de la 2e année, sous le statut d'apprenti au sein du CFA-SupOptique. L'effectif total du cycle ingénieur pour 2006-2007 est de 241 élèves.
La 1re année est consacrée à l'enseignement fondamental en physique et en sciences de l'ingénieur et comprend 820 heures de cours et un stage d'un mois, la 2e année est axée sur l'étude des composants avec 720 heures de cours et deux à trois mois de stage, enfin la 3e année porte en particulier sur l'intégration des technologies optiques dans les systèmes.
L'enseignement de 3e année est à la carte. Les élèves peuvent également suivre l'option constituée de cours à HEC, celle enseignée à St-Étienne (Photonique, image et microsystèmes) ou bien faire une année d'étude dans un établissement étranger partenaire. Ils peuvent également préparer en parallèle un diplôme national de master à finalité recherche.
Les élèves peuvent suivre à partir de la deuxième année une formation à l'innovation et à l'entrepreneuriat créée à la rentrée 2006.
L'enseignement est semestrialisé et organisé en unités d'enseignement auxquelles correspondent un certain nombre de crédits ECTS, ceci dans le cadre de la construction de l'espace européen de l'enseignement supérieur.
Le budget pour la formation est de 2,5 millions d'euros.
1re année | 2e année |
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L'école est habilitée à délivrer des diplômes conférant le titre d'"ingénieur diplomé de l'École supérieure d'optique". Depuis 1922, plus de 2300 diplômes ont été délivrés. Suite à la promulgation de la loi du 10 juillet 1934 relative aux conditions de délivrance et à l'usage du titre d'ingénieur diplômé, le titre d'ingénieur de l'école a été immédiatement reconnu par l'État du fait de la formation des ingénieurs des corps de l'État au sein de celle-ci (la seule autre école ayant bénéficié de l'application de l'article 13 de cette loi est Supélec).
Ce titre d'ingénieur permet notamment de se présenter à différents concours de la fonction publique (corps des ingénieurs de recherche des EPST, corps des ingénieurs hospitaliers en chef, corps des ingénieurs des travaux publics de l'État) et offre la possibilité, accessoirement..., d'exercer la profession réglementée d'opticien lunetier détaillant.
SupOptique fut une des premières écoles d'ingénieurs mixtes, une femme faisant partie des quatre premiers diplômés de l'école. La proportion des jeunes femmes parmi les élèves est d'ailleurs actuellement de 30% soit le double du taux moyen dans les écoles d'ingénieurs.
SupOptique est habilitée depuis 2004 à délivrer le diplôme national de master en sciences et technologie à finalité recherche mention physique et applications, avec une spécialité de deuxième année en optique, matière et plasma.
La préparation du master dure deux ans, après l'obtention de la licence ou d'une équivalence. L'enseignement de première année est propre à l'école. La spécialité de deuxième année est commune avec les autres établissement cohabilités et comprend sept parcours, SupOptique coordonne le parcours en optique et photonique et participe à l'enseignement du parcours en optoélectronique. L'école est cohabilitée, au niveau de la spécialité, avec l'École polytechnique, l'université Paris-XI (Paris-Sud), l'université Paris-VI (Pierre et Marie Curie), l'université Paris-VII (Denis Diderot), l'université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines et l'École nationale supérieure des télécommunications.
Les élèves-ingénieurs peuvent préparer en parallèle le diplôme national de master, de nombreux cours étant communs aux deux diplômes.
Le master a été retenu dans le programme européen d'échange Erasmus mundus.
L'école est également membre associé de la Fédération de formation créée autour de la spécialité de master "sciences de la fusion".
L'école participe à la formation pour le mastère spécialisé (MS) en ingénierie des données de la recherche médicale et biotechnologique de l'École centrale Paris en partenariat avec l'Institut de formation supérieure biomédicale de la faculté de médecine de l'université Paris-XI, à l'Institut Gustave Roussy.
L'école propose actuellement plus de vingt stages de formation abordant différents domaines: système optique, photométrie, conception optique, laser, imagerie ...
La formation continue des ingénieurs et techniciens de l'industrie de l'optique fit partie des missions initiales de l'établissement. Dès 1927, des cours du soir furent mis en place pour y répondre, en direction d'une part des contremaîtres et des ouvriers (cours de Lucien Roux) et d'autre part des opticiens détaillants (cours des Drs Haas et Joseph).
La plupart des groupes de recherche de l'école sont depuis 1998 rassemblés au sein du Laboratoire Charles Fabry, structure associée à l'université Paris-XI et au CNRS comme unité mixte de recherche (UMR n°8501) et dirigée par Pierre Chavel.
Le Laboratoire Charles Fabry comprend en 2005 les groupes de recherche suivants:
L'école comprend également une structure d'études et de valorisation industrielles baptisée "IOTech" (faisant suite au Laboratoire d'optique appliquée de l'IOTA). Cette structure, ainsi que le service métrologie de l'école, sont les héritiers du laboratoire d'essais créé dès l'ouverture de l'école, aux cotés du laboratoire de recherche.
L'effectif total de recherche comprend environ 110 personnes: 27 enseignants-chercheurs titulaires (9 professeurs des universités et 16 maîtres de conférences dont 2 de l'université Paris XI), 22 chercheurs titulaires du CNRS (10 directeurs de recherches et 12 chargés de recherches), 15 chercheurs et enseignants-chercheurs non titulaires, 45 chercheurs doctorants. Le bugdet total du secteur recherche et valorisation, salaires inclus, est de 7,8 millions d'euros (dont 3/4 de salaires et 6% provenant de contrats de recherche appliquée avec une entreprise).
L'école a été en 2006 parmi les vingt premiers établissement de recherche français à obtenir le label Carnot du ministère de la Recherche. Elle fait partie de System@tic Paris-Région, un des six pôles de compétitivité mondiaux choisis en juillet 2005 par le Comité interministériel de l’aménagement et du développement du territoire. L'école fait également partie du Triangle de la physique un des treize réseaux thématiques de recherche avancée choisis en octobre 2006 par le ministre de la recherche pour former les fers de lance de la recherche française. Elle participe, via son antenne stéphanoise, au programme MINimage, un des douze programmes financés par l'Agence de l'innovation industrielle.
Vingt brevets ont été déposés ces cinq dernières années.
De nombreux chercheurs de l'école ont obtenu des prix et récompenses prestigieuses en optique, physique et sciences:
L'activité de recherche de l'école a été contractualisée avec le CNRS dès la création des URA (unité de recherche associée) en 1966. À cette époque, l'école comprenait, sous la direction d'Albert Arnulf, 9 groupes de recherche:
SupOptique ne délivre pas de diplôme de docteur, mais une trentaine de jeunes chercheurs préparent au sein d'un des différents groupes de recherche de l'école une thèse pour le doctorat qu'ils présentent généralement à l'université Paris-XI. Ainsi une dizaine de thèses de doctorat préparées à SupOptique sont soutenue par an.
Le Laboratoire Charles Fabry fait ainsi partie de l'école doctorale Ondes et matière (EDOM, ED288), de l'école doctorale Sciences et technologies de l'information et traitement du signal (STITS, ED422), et de l'École doctorale de physique de la région parisienne (ED0107).
Un tiers des ingénieurs diplomés de l'école prépare ensuite une thèse de doctorat. SupOptique est ainsi l'une des écoles d'ingénieurs ayant la plus forte proportion de docteurs parmi leurs anciens élèves.
Environ 60% des élèves d'une promotion ont à la sortie de l'école une expérience internationale, obtenue suite à un stage ou une année d'étude à l'étranger.
L'école offre en effet la possibilité de partir faire la troisième année du cycle ingénieur dans un établissement d'enseignement supérieur étranger. Dans la plupart des cas, ceci conduit à l'obtention d'un double diplôme (DD).
Partenaire d'échange international:
Le réseau de masters Erasmus mundus "optics in science and technology" (optique dans les sciences et les technologies) coordonné par l'école fait partie des 23 projets retenus en 2006 par la Commission européenne et des 7 coordonnés par un établissement français. Il associe:
Le programme Erasmus a pour objectif de favoriser le déplacement des étudiants à l'étranger et d'accueillir des européens et extra-européens désireux d'améliorer leurs connaissances en optique. Le programme concerne 40 étudiants par an dont la moitié d'extra-européens.
SupOptique fait également partie du programme de mobilité européen Leonardo.
Au niveau de la recherche, l'école participe à plus d'une dizaine de contrats du Programme cadre de recherche et de développement (PCRD) de l'Union européenne et une proportion importantes des chercheurs doctorants viennent de l'étranger.
L'école a ouvert une antenne à Saint-Etienne au sein du pôle optique Rhones-Alpes dite SupOptique Rhones-Alpes. Les élèves peuvent suivre l'option de troisième année consacrée à l'instrumentation optique dans les processus industriels. Ils peuvent en parallèle préparer le diplôme national de master en sciences et technologie à finalité recherche mention optique, image et vision délivré par l'université de Saint-Étienne.
L'observatoire astronomique de l'école à été installé au sein de cette antenne.
Le Centre national de la recherche scientifique est depuis sa création le principal partenaire pour les activités de recherches, 21 chercheurs et 32 ingénieurs, techniciens et agents administratifs sont affectés à l'établissement par le CNRS. L'école entretient des liens étroits avec l'université Paris-XI au travers d'une convention permettant en particulier l'affectation du personnel de l'Education nationale. Suite au déménagement de l'établissement, l'École polytechnique est également amenée à devenir un partenaire de tout premier plan que ce soit au niveau de l'enseignement, de la recherche ou des infrastructures.
L'Association amicale des anciens élèves de l'École supérieure d'optique a été créée en 1924. Son premier président fut Albert Arnulf. Elle a pour mission d'établir et d'animer le réseau d'anciens élèves, d'apporter un soutien aux élèves, de contribuer à l'évolution de SupOptique et de promouvoir l'optique. L'association publie une revue trimestrielle intitulée Opto.
Partie intégrante du projet initial de l'établissement, la bibliothèque de l'école était devenue à la veille de la seconde guerre mondiale la bibliothèque la plus riche en périodiques scientifiques de France. Elle demeure actuellement une des plus fournie au monde dans le domaine de l'optique avec six milliers d'ouvrages, dont plus d'un millier de thèses de doctorat, et possède un certain nombre de cours manuscrits témoins des cours pionniers des années 1920, notamment ceux d'Henri Chrétien et d'André Broca.
Suite au déménagement de l'établissement à Palaiseau, la bibliothèque est maintenant associée avec celle de l'École polytechnique.
L'école a été dès sa création étroitement liée à la Revue d'optique théorique et instrumentale et sa société d'édition qui étaient placées sous son patronage. L'association des élèves de l'école publie depuis de nombreuses années une revue annuelle scientifique intitulée "SupOptique Avenir".
L'école dispose de nouveaux bâtiments à Palaiseau sur le même campus que l'École polytechnique, et dans un avenir proche, l'École nationale supérieure des techniques avancées et l'École nationale de la statistique et de l'administration économique. D'une superficie de 12200 m², ils ont été financés à hauteur de 24 millions d'euros par l'État (55%), le Conseil général de l'Essonne (35%) et le Conseil régional d'Île-de-France (10%).
L'école dispose également du bâtiment 503 (10000 m²), au sein du centre scientifique d'Orsay, où plusieurs équipes de recherche résident encore.
Enfin l'école dispose d'un petit bâtiment à Saint-Étienne (500 m²) pour l'option de 3e année et l'observatoire astronomique.
Directeurs généraux:
De 1917 à 1918, la direction provisoire du projet est confiée au trois administrateurs Armand de Gramont, Jules Violle et Amédée Jobin. De 1919 à 1921, Charles Fabry est directeur, mais la direction effective est confiée au directeur adjoint, Charles Dévé, car Charles Fabry est encore à Marseille.
Directeurs adjoints ou équivalents:
Présidents du Conseil d'administration:
Les enseignants titulaires sont, à la rentrée 2006, au nombre de 27: 9 professeurs des universités, 14 maîtres de conférences, 3 professeurs agrégés, 1 professeur certifié.
S'y ajoutent un professeur associé, quelques attachés temporaires d'enseignement et de recherche et moniteurs de l'enseignement supérieur, ainsi que de nombreux chargés d'enseignement vacataires. Plus de 600 heures de cours sont assurées par des industrielles.
Les premiers enseignants de l'école furent:
Professeurs:
Chargés de cours:
Conférenciers:
Voici un certain nombre d'enseignants ayant succédé aux précédents:
Formation des images (Optique géométrique et aberrations) | Calcul des combinaisons optiques | Instruments et systèmes optiques |
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Mesures optiques | Optique physiologique et optométrie | |
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Photométrie et radiométrie | Optique physique (interférences et diffraction) | Physique des images |
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Informatique | Couches Minces | Electronique analogique |
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Electronique logique et microprocesseur | Dessin et optomécanique | Langues |
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Analyse et signal | Statistique et bruit | Electromagnétisme et optique guidée |
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Electro & acousto optique, optique non-linéaire | Verres et travail du verre | Mécanique quantique et physique atomique |
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Traitement des images | Semiconducteurs, physique et laser | Laser et optique quantique |
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Économie, comptabilité et gestion | Travaux pratiques d'électronique | Travaux pratiques d'optique |
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Comme toutes les écoles d'ingénieurs, les élèves se regroupent en de nombreux clubs et associations. Le BDE (Bureau des élèves, comité exécutif de l'Association des Elèves) est l'organe central et fédérateur qui organise la vie associative de l'école en coordinant les différents clubs et associations. Il s'occupe aussi de trouver des fonds (par exemple parrain de promotion) et de mettre en place diverses animations (semaine d'intégration, voyage au ski, soirées).
Clubs associés au BDE La liste qui suit présente les clubs qui dépendent -légalement et économiquement parlant- de l'Association des élèves.
Autres associations Outre l'Association des élèves, il existe quatre autres associations loi 1901:
Toutes ces associations permettent aux élèves de développer des compétences humaines, par exemple le travail en équipe, qui leur serviront plus tard dans le monde du travail.